Problèmes systémiques, manque d’adaptation, faim, pauvreté extrême, catastrophes météorologiques, transformation de l’Amazonie en savane et hausse du niveau de la mer de 13 mètres: le rapport en cours d’écriture du GIEC prend un ton apocalyptique et offre une unique note d’espoir
Il faut agir plus vite et plus fort. Chaque demi-degré compte. Le secteur touristique a sa part de responsabilité dans ce qui ce joue, il doit en tirer les leçons et adapter ses objectifs.