Car contrairement aux ouvriers, qui peuvent se regrouper entre eux et se syndiquer, les animaux sont soumis à une telle coercition qu’ils n’ont pas la possibilité de se révolter. Pour cette raison, on retrouve chez les anarchistes et les communistes le développement d’une pensée favorable aux animaux.
Mais ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que la lutte pour leurs droits s’organise vraiment. Certains militants passent alors du végétarisme au véganisme et dénoncent tout à la fois les maltraitances faites aux animaux et l’industrialisation de la production alimentaire pendant les Trente Glorieuses.
Les restaurants vegan devront-ils aussi essyer la critique en cours?