Pour le souverain pontife, le climat est un « Bien commun » et son dérèglement, principalement imputable aux pays développés, est subi de plein fouet par les plus pauvres (mot cité plus de 60 fois).
* La question de l'épanouissement de la Personne et sa place dans la communauté (pensée du Bien commun) a sa place : « la crise éthique, culturelle et spirituelle de la modernité ».
* Conciliation du Spirituel et du Matériel : l’écologie de François n’a rien à voir avec celle défendue par Daniel Cohn Bendit ou Cécile Duflot. Elle va plus loin. Il y a une transcendance dans l’idée qu’en respectant la nature on réalise un acte de foi.
Pour le souverain pontife, le climat est un « Bien commun » et son dérèglement, principalement imputable aux pays développés, est subi de plein fouet par les plus pauvres (mot cité plus de 60 fois).
* La question de l'épanouissement de la Personne et sa place dans la communauté (pensée du Bien commun) a sa place : « la crise éthique, culturelle et spirituelle de la modernité ».
* Conciliation du Spirituel et du Matériel : l’écologie de François n’a rien à voir avec celle défendue par Daniel Cohn Bendit ou Cécile Duflot. Elle va plus loin. Il y a une transcendance dans l’idée qu’en respectant la nature on réalise un acte de foi.
Pour le souverain pontife, le climat est un « Bien commun » et son dérèglement, principalement imputable aux pays développés, est subi de plein fouet par les plus pauvres (mot cité plus de 60 fois).
* La question de l'épanouissement de la Personne et sa place dans la communauté (pensée du Bien commun) a sa place : « la crise éthique, culturelle et spirituelle de la modernité ».
* Conciliation du Spirituel et du Matériel : l’écologie de François n’a rien à voir avec celle défendue par Daniel Cohn Bendit ou Cécile Duflot. Elle va plus loin. Il y a une transcendance dans l’idée qu’en respectant la nature on réalise un acte de foi.
Pour le souverain pontife, le climat est un « Bien commun » et son dérèglement, principalement imputable aux pays développés, est subi de plein fouet par les plus pauvres (mot cité plus de 60 fois).
* La question de l'épanouissement de la Personne et sa place dans la communauté (pensée du Bien commun) a sa place : « la crise éthique, culturelle et spirituelle de la modernité ».
* Conciliation du Spirituel et du Matériel : l’écologie de François n’a rien à voir avec celle défendue par Daniel Cohn Bendit ou Cécile Duflot. Elle va plus loin. Il y a une transcendance dans l’idée qu’en respectant la nature on réalise un acte de foi.
L'initiative Charte de la Terre en France et Common Good Forum vous invitent au prochain webinar en français de la série 2015 dans le cadre de l'initiative commune Unité dans la Diversité et le 15ème anniversaire de la Charte de la Terre #ECplus15 !
Rendez-vous mercredi 27 mai à 19h pour échanger sur l'éducation, la paix et le développement durable, avec nos deux invités, Victor Grezes de Coexister, et Patrick Viveret de Dialogues en humanité.
Les sujets techniques et l’innovation sont de plus en plus difficiles à « mettre en démocratie ». Plusieurs rencontres récentes témoignent d’une effervescence en France pour sortir des écueils qui paralysent les débats,
La 35e Rencontre nationale des agences d'urbanisme a lieu les 17 et 18 novembre 2014 à Paris et en Île-de-France. À l’occasion de cette Rencontre, la FNAU a décidé de s’intéresser au concept de « bien commun », récemment renouvelé par les démarches écologiques, numériques et les pratiques émergentes du « partage » qui explorent de nouvelles pratiques sociales, de nouveaux modèles économiques et de nouvelles formes de gouvernance. Encore peu associée au territoire et aux politiques publiques, la notion de « communs » trouve pourtant un écho dans beaucoup de démarches territoriales et de travaux des agences d’urbanisme : la gestion partagée de ressources naturelles, d’espaces publics ou de ressources économiques. Elle fraye des pistes pour l’apparition de nouveaux modèles de gestion entre l’action publique, celle des entreprises et celle des individus, par exemple dans les nouveaux modèles énergétiques ou de mobilité. La création d’un capital immatériel territorial économique ou culturel commun, mais aussi la co-construction des politiques locales, sont des processus qui trouvent un écho dans la notion de « bien commun ».
Définition du Bien commun (philosophie, économie, droit, sciences politiques, sociologie) Interrogation sur les théories existantes sur la gouvernance des biens communs (ressources matérielles ou immatérielles) : Garett Hardin, Elinor Ostrom, Peter Samuelson, Mancur Olson
Critique de l'homoeconomicus et de l'économie orthodoxe (économétrie).
Questions quant à la démocratie réelle (au-delà de la démocratie participative ou représentative), au Droit (nouvelles formes de droit), et l'économie (antuutilitarisme, économie hétérodoxe, place du non-mesurable, sensible, culturel...)
Pourraient être désignées « biens communs » toutes les dynamiques par lesquelles des ressources matérielles ou immatérielles, accessibles à tous ou potentiellement destinées à tous, sont produites ou gérées par tous, de la façon la plus ouverte et la coopérative possible.
Comment gérer les conséquences de l’activité humaine sur le très long terme ? La question a une dimension éthique, appelant une logique de transmission patrimoniale des conditions concrètes de la vie afin de dépasser la logique d’un contrat entre les vivants. Elle est aussi politique et suppose de nouveaux modes de gouvernance, entre marché et État : des formes de coordination fondées sur le bien commun.
Différencier les notions de : bien commun, intérêt général, morale, biens communs. Comment penser par et pour le bien commun ? Penser par le bien commun et la délibération. Comment concevoir l'universel, penser la conjugaison du un et du Tout, un et multitude, unité et diversité.
#territoires En Europe les monnaies locales se développent. En France la SoNantes (https://sonantes.fr) est lancée depuis fin avril ! Elle fait partie de la trentaine de monnaies locales qui cohabitent avec l'Euro en France depuis 2008. En instaurant un système commun d'échanges à l'échelle d'un territoire, les monnaies locales sont nées pour juguler la mondialisation des flux monétaires et leur spéculation, pour le bénéfice économique et sociétal du territoire, en favorisant une économie raisonnée et éthique. Reste à savoir si ces monnaies alternatives résisteront au-delà du contexte de crise ?
Bien commun ou Commun ou Commun libre, de quoi parlons-nous réellement ? Pourquoi les personnes contribuent à un Commun ? Des idées de modèles économiques et financiers pour supporter le développement d’un Commun et ses contributeurs ? Comment commencer son projet comme un bien commun ?
Article de base me semble t il pour travailler le sujet - c'est bien plus qu'un défi - une façon de vivre :
* Définition d'un #Commun : c’est la communauté qui se donne une gouvernance et des règles. Chacun est usager-contributeur du commun.
* Redoutable démonstration de comment l’automatisation par la technologie pourrait détruire la capacité de l’individu à prendre en charge par lui-même sa destinée économique, professionnelle, familiale et sociale, mais aussi comment on peut contrecarrer cette destruction (ex le traducteur Google)
* Évocation intéressante des méthodes de contribution et d l'activité marchande autour d'un commun
« Politique des poètes », « Esthétique et politique », « Politiques de l’écriture », « Politique de la littérature », « La politique de la fiction »… Ces titres, sous-titres de ses ouvrages ou interventions en témoignent : à qui veut interroger le rapport entre littérature et politique, la possibilité et le sens d’une « fiction politique », l’examen des thèses de Jacques Rancière importe doublement.
C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis. L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1]. La note tourne autour de la distinction nécessaire entre « Bien commun » et « biens communs ».
Via COMMON GOOD FORUM
" Ce livre fait le point sur l’équilibre entre les règles de l’économie et le bien commun à travers l’Histoire, des premières sociétés humaines à la crise actuelle. Je m’intéresse depuis très longtemps en dehors des projets scientifiques, à ce qui nous fait humain. J’ai étudié précédemment la relation à l’autre, l’amitié, l’amour, le rire, l’art, la science, le sens du beau et cette fois j’ai voulu me concentrer sur l’échange des biens. Ils ont commencé dans des temps très anciens par le partage, le troc, puis l’introduction de la monnaie, jusqu’à l’évolution de l’économie vers le libéralisme, avec une difficulté fondamentale : Comment la pensée libérale, qui définit l’homme comme étant égoïste et cupide, permet-elle de poursuivre le bien commun ?
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Pour le souverain pontife, le climat est un « Bien commun » et son dérèglement, principalement imputable aux pays développés, est subi de plein fouet par les plus pauvres (mot cité plus de 60 fois).
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Pour le souverain pontife, le climat est un « Bien commun » et son dérèglement, principalement imputable aux pays développés, est subi de plein fouet par les plus pauvres (mot cité plus de 60 fois).
* La question de l'épanouissement de la Personne et sa place dans la communauté (pensée du Bien commun) a sa place : « la crise éthique, culturelle et spirituelle de la modernité ».
* Conciliation du Spirituel et du Matériel : l’écologie de François n’a rien à voir avec celle défendue par Daniel Cohn Bendit ou Cécile Duflot. Elle va plus loin. Il y a une transcendance dans l’idée qu’en respectant la nature on réalise un acte de foi.