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Bienvenue dans la galaxie France Inter : des nouveautés sur l'antenne, des podcasts, des conférences, des événements, des livres, des lives pour une rentrée pas comme les autres. Laurence Bloch, la directrice de France Inter en dresse les grandes lignes. Par France Inter, Laurence Bloch publié le 21.08.2020 "... Forte de ses succès, France Inter élargit ses offres de podcasts audio et vidéo, notamment à destination des enfants. Aux côtés d’Oli et des Odyssées dont le succès tonitruant (20 millions de téléchargements) nous a nous-mêmes surpris, débuteront deux nouvelles collections : Bestioles, série de croquis sonores signée de Denis Cheissoux et Olma, podcast hebdomadaire de La Terre au carré où l’imaginaire et la fiction seront le trait d’union entre les enfants et la science." (...)
Par Samuel Challéat. Collectif RENOIR. « Du 12 février au 3 novembre 2014, le Muséum national d’Histoire naturelle nous plonge dans la nuit, sous ses différentes facettes. »
Extraits du dossier de presse… « Que se passe-t-il durant
la nuit, dans le ciel et dans la nature ? « L’exposition, conçue par le Muséum national d’Histoire naturelle, explore le monde de la nuit sous tous ses aspects, mobilise des savoirs scientifiques pluridisciplinaires : astronomie, biologie, éthologie, physiologie, anthropologie, neurologie et évoque également le monde de l’imaginaire au travers des divinités, des mythes et des monstres… Elle met en valeur un large éventail des collections zoologiques du Muséum. Plus de 350 spécimens sont présentés : mammifères, oiseaux, serpents, amphibiens, papillons, etc. Ils ont été sélectionnés pour la plus grande partie dans les collections, une cinquantaine ont été réalisés spécialement pour l’exposition dans les ateliers de taxidermie. »
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Pour plus d’informations : Le site web dédié : http://nuit.mnhn.fr/ L’agenda des manifestations autour de l’exposition Nuit : http://www.mnhn.fr/fr/visitez/agenda/expositions/nuit
Par Lisa Garnier. Vigie Nature. « Le 12 décembre 2013, Robert Barbault, professeur émerite au Muséum national d'Histoire naturelle et à l'Université Paris VI nous quittait. »
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« Chercheur engagé , professeur et directeur respecté, Robert écoutait et permettait à tout un chacun de faire son chemin dans les choix des possibles. En tant que Président du programme Man and Biosphere (MAB) en France, il œuvrait pour qu'humains et nature cohabitent sur un même territoire. »
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Aujourd'hui dans CO2 mon amour, il est question de Killers de Lombrics, de pharmacopée sous-marine, de jardin urbain, de tulipe, de métiers de l'environnement, et d'actualités.
Quatre espèces de Plathelminthes, originaires de Nouvelle-Zélande ou d'Australie, ont débarqué sur nos terres ; parce qu'ils sont extrêmement friands de nos précieux lombrics, Jean Lou Justine, professeur de zoologie au Muséum National d'Histoire Naturelle, les suit de près, et a lancé un programme de science collaborative destiné à les recenser...
Ci-dessus : Kontikia ventrolineata, un plathelminthe déjà bien connu en Grande-Bretagne. Ces plathelminthes trouvent un milieu favorable en Europe : leurs prédateurs habituels sont absents et l'évolution n'a pas enseigné à leurs proies, les vers de terre, comment parer à leurs attaques. © Jean-Lou Justine
"Oiseaux, fleurs, insectes ou microalgues… Rien n’échappe aux campagnes d’observation du Muséum national d’histoire naturelle et de l’Ifremer. Leur point fort : des participants passionnés, une collecte gigantesque, des résultats inattendus."
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Aujourd’hui, les résultats affluent, et ils sont souvent riches d’informations scientifiques inattendues. Exemple, les oiseaux ; les différents programmes d’observation ont montré que dans l’ensemble des départements français, « les espèces d’oiseaux et papillons se déplacent vers le nord, explique Romain Julliard, directeur scientifique de Vigie-Nature. Une progression de quelques kilomètres chaque année, liée au réchauffement climatique ; c’est très visible avec 2 000 points d’observation en France ».
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En aucun cas nous n’aurions pu obtenir les mêmes informations depuis nos paillasses de labo ! souligne Romain Julliard. C’est bien la multiplicité des points d’observation, leur diversité et leur caractère massif — les papillons des jardins, par exemple, ont été décomptés par quelque 10 000 personnes ! — qui garantissent la qualité des résultats scientifiques. »
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La science participative fait également appel à des professions spécifiques. En 2013, 400 agriculteurs participent ainsi à un protocole d’observation de l’impact de leur activité ; il s’agit de mesurer les conséquences des labours répétés sur les populations de vers de terre, ou bien encore d’observer la façon dont les abeilles solitaires s’adaptent aux différents types de culture. Des informations encore une fois irremplaçables pour les chercheurs, car elles émanent d’observateurs présents sur les lieux tous les jours. [...]
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SUR LE MÊME SUJET :
→ Donner un nouveau souffle aux sciences participatives - Le Monde, 14.04.2014 http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/04/14/donner-un-nouveau-souffle-aux-sciences-participatives_4401043_1650684.html
Actualités La biodiversité -Noé Conservation- Sauvegarde de la biodiversité Le 14 août a été lancée la phase pilote de l'enquête de sciences participatives "Insectes et Ciel étoilé". Les partenaires (Noé Conservation, Muséum national d'Histoire naturelle, Association Française d'Astronomie, Office pour les Insectes et leur Environnement) vous proposent de participer dès maintenant ! Rendez vous ici
Sur les traces des petits habitants de nos forêts… Récolter 50 000 observations liées aux espèces d’animaux liés aux milieux forestiers. C’est le défi lancé par le Muséum national d’Histoire naturelle, Natureparif et l’association Noé Conservation.
Opération 50 000 observations pour la forêt : Découvrir et télécharger les outils d'observations
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Comme depuis le début de la crise, le contexte a influé sur la constitution des grilles pour la saison 2020-2021 a précisé Sibyle Veil, Présidente-directrice générale de Radio France en ouverture de la conférence de rentrée du groupe qui s’est tenue hier en visioconférence. Ainsi la culture, les éclairages et le lien social ont guidé la construction des grilles de rentrée. Offremedia, 27.08.2020 Visionnez l'intégralité du point presse Retrouvez les dossiers de presse de la rentrée 20/21
Par Bernard Hasquenoph. Louvre pour tous - L'info citoyenne sur les musées. « Le Muséum national d’Histoire naturelle multiplie les zones payantes sur son site parisien du Jardin des Plantes - jusqu’à 8 ! - tout en contournant les gratuités obligatoires des enfants, des jeunes et des enseignants. À en oublier son devoir d’accessibilité et sa mission de diffusion des connaissances. »
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ESPACES DE VISITE PAYANTS AU JARDIN DES PLANTES Tarif plein / tarif réduit • Grande Galerie de l’Évolution : 7€, 9 ou 11€ selon programmation / 5€, 7 ou 9€
[...] • Galerie d’entomologie : fermée depuis 1998, plus mentionnée nulle part, aucun projet de réouverture mais toujours labellisée Musée de France
Via Bourdoncle
Natureparif - le portail dynamique de la nature et de la biodiversité en Ile de France (IDF)
[...] La mortalité croissante des abeilles domestiques est bien connue des apiculteurs et la moitié des papillons de prairies ont disparu en 20 ans en Europe. Quel est l’état actuel des choses ? Comment mesure-t-on les tendances, les dynamiques ? Quelles sont les facteurs de déclin et que pouvons-nous faire ? C’est à ces questions que tenteront de répondre les spécialistes des abeilles domestiques et des pollinisateurs sauvages au cours de la demi-journée de présentations (résultats d’enquêtes, travaux de recherches…) et de débats à laquelle Natureparif, l’OPIE et l’UNAF avec le CNRS et le MNHN vous convient.
Mardi 5 novembre 2013 (13h30-18h30) Amphithéâtre de la SNHF, 84 rue de Grenelle, Paris 7e (Métro Rue du Bac)
Les Rendez-vous du Muséum sont l’occasion de découvrir des métiers insolites et souvent peu connus du grand public. Le dimanche 29 septembre, le métier d’entomologiste est à l’honneur.
Nicolas Deguines est chercheur au Muséum national d'histoire naturelle et coordinateur scientifique du SPIPOLL. Il nous parle de cet observatoire participatif et de l'observation des insectes pollinisateurs.
Prochainement sur RFI, Autour de la question, par Caroline Lachowsky Jean-Guy Michard (maître de conférences au Museum d'Histoire Naturelle et muséologue) et Romain Garrouste (écologue et entomologiste) tenteront de répondre à la question : "Pourquoi les insectes ?"
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"... deux nouvelles collections : Bestioles, série de croquis sonores signée de Denis Cheissoux et Olma, podcast hebdomadaire de La Terre au carré où l’imaginaire et la fiction seront le trait d’union entre les enfants et la science."
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SANS OUBLIER :
→ FRANCE INTER : L’ÉMISSION PHARE « LA TERRE AU CARRÉ » INVITE DEUX NOUVEAUX SCIENTIFIQUES DU MUSÉUM
« Jérôme Sueur, écoacousticien et professeur du Muséum national d'Histoire naturelle, utilise les collections de la sonothèque du Muséum pour présenter tous les lundis « Le son de la Terre », une histoire naturelle sonore. Sa première chronique consacrée aux cigales, permet de se replonger avec délice dans les sons de l’été. Au fil des épisodes, les auditeurs pourront écouter le brame du cerf, le son de la glace, et même, l’acoustique du vent et de la pluie…
Marc-André Selosse, biologiste spécialisé en mycologie et botanique et professeur du Muséum national d'Histoire naturelle, prend quant à lui la parole chaque mercredi dans sa « Chronique du vivant ». Pourquoi les feuilles changent-elles de couleur en automne ? Comment choisir la date idéale pour débuter des vendanges ? Autant de questions que nous nous posons et qui trouveront ici des réponses accompagnées de décryptages et d'anecdotes originales.»
(via communiqué MNHN du 01.09.2020 "DE LA SCIENCE SUR LES ONDES : Les scientifiques du Muséum mis à l'honneur sur Radio France")