Les laboratoires du CNRS Occitanie Ouest dans la presse

"Du 17 au 27 juillet, un avion bardé de capteurs scientifiques va étudier les particules présentes dans l’air de la Région Hauts-de-France. Mais leur travail a aussi des applications en matière de sécurité aérienne, ce qui amène ces équipages à explorer les phénomènes météorologiques les plus dangereux pour l’aviation..."

Depuis lundi, un avion équipé de nombreux engins de mesures scientifiques survole le Nord et le Pas-de-Calais à très basse altitude pour collecter des données sur les particules et leur impact sur la qualité de l'air et le climat.

"Il a de quoi surprendre ! Jusqu'au 26 juillet 2023, un drôle d'avion va survoler à plusieurs reprises le Nord et le Pas-de-Calais, parfois à basse altitude. Explications."

"Du 17 au 26 juillet 2023, dans le cadre d’une campagne de mesures des caractéristiques de l’air menée par le CNRS, le CNES et Météo France, un avion effectuera des vols essentiellement au-dessus du Nord et du Pas-de-Calais, prévient la préfecture des Hauts-de-France."

"Le Falcon 20, à l’origine biréacteur d’affaires, a été acquis par le CNRS en 2006 et utilisé jusqu’en 2022"

"Le Falcon 20 du CNRS, dédié à la recherche aéroportée en environnement, intègre les collections du musée Aeroscopia. Il a fait partie des laboratoires volants, unique en son genre en France : l’infrastructure de recherche Safire (Service des avions français instrumentés pour la recherche en environnement) créée en 2005 par le CNRS, Météo-France et le CNES, et basée sur le site de Toulouse-Francazal, capitale de l’aéronautique et de l’espace."

"Une équipe de recherche anglo-franco-américaine, au sein de laquelle sont impliqués plusieurs laboratoires toulousains, va mener au mois d'août une campagne de vol au-dessus de l'océan Arctique pour étudier les dépressions polaires. Ce phénomène encore mal connu pourrait jouer un rôle dans l'accélération du réchauffement du climat au pôle Nord. Les données vont aussi améliorer les prévisions météo dans une zone qui connaît un boom du tourisme avec une multiplication des bateaux de croisière."

"Depuis quelques jours, un avion vole à très basse altitude au-dessus de plusieurs départements du nord de la France. Il s’agit d’une mission scientifique dont l’objectif est de comprendre le mécanisme de formation de la pollution atmosphérique."

Comment se comporte la pollution parisienne une fois dans l'air ? C'est ce que vont tenter de comprendre Météo France et le CNRS en faisant voler à basse altitude un véritable "laboratoire volant". franceinfo a pu visiter cet avion unique en son genre, à l'aérodrome de Cergy-Pontoise.

"Un avion, basé à Toulouse, est chargé de réaliser des mesures d'air jusqu'au 7 juillet."

"Dix petits jours de missions et puis s’en vont : du 17 au 26 juillet, aviateurs et scientifiques de Safire ont volé dans les basses couches de l’atmosphère du Calaisis et dans le détroit du Pas-de-Calais, pour analyser les particules présentes dans l’air. Vient maintenant le temps des analyses…"

"En juin, l’engin du CNRS a fait son entrée au musée de Blagnac. Utilisé jusqu’en 2022 pour la recherche scientifique, il faisait partie de la flotte exploitée par Safire depuis 2005 sur le site Toulouse-Francazal."

"Le musée aéronautique de Blagnac vient de recevoir un nouvel appareil. Il s'agit d'un Falcon 20 produit par Dassault Aviation qui était dédié à des missions scientifiques menées par le CNRS depuis l'aéroport de Toulouse-Francazal."

"La cérémonie a eu lieu le 19 juin dernier, aeroweb-fr.net était présent et vous fait découvrir les photographies de cet appareil."

Jusqu’à la fin du mois d’août une équipe de recherche internationale traque les dépressions polaires au-dessus de l’océan Arctique pour mieux les comprendre.

"Si on connaît les raisons de la pollution atmosphérique qui sévit sur Paris et sa région, il reste encore des zones d’ombres sur la nature des particules. Comment s’échappent-elles dans l’atmosphère, jusqu’où vont-elles... Un avion à hélice, véritable laboratoire volant, les analyse ce lundi et ce mardi."

"Jusqu’au 7 juillet, un avion survole la périphérie de la région parisienne à basse altitude pour recueillir des données sur les aérosols et les polluants atmosphériques."