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TTR: Wieso müssen sich Skigebiete zukünftig stärker mit dem Thema Nachhaltigkeit in der Kommunikation beschäftigen?
Face à des hivers sans neige qui se multiplient, les stations de l’Arc jurassien n’ont d’autre choix que de se réinventer pour espérer survivre. Si certaines peinent à imaginer se passer du ski, d’autres le considèrent déjà comme une activité accessoire
Des initiatives créatives se déploient sur les pistes et dans les stations de ski pour allier la culture aux sports d’hiver.
Devant les défis d’enneigement de certaines régions, des gestionnaires touristiques se tournent vers de jeunes pousses et de nouvelles approches afin de sauver les sports hivernaux.
Chaque année se multiplient à la même période, les séquences de journal télévisé sur les skieurs et autres vacanciers qui dévalent les pistes et se délectent des joies des sports d’hiver. La pratique des sports d’hiver est pourtant très minoritaire : à dix ans d’intervalle, le CREDOC a décompté moins d’un Français sur dix partant en vacances à la montagne en hiver. Le profil des amateurs de sports d’hiver est plutôt aisé, jeune, urbain. Très amateurs de nature et de grand air, ils se disent sensibles à l’environnement sans être toujours très conscients des impacts de leur pratique sur la planète.
Avec 53,9 millions de journées-skieur, la France se classe au 2e rang mondial du tourisme hivernal, juste derrière les États-Unis. Dans les années 1960 et 1970, le tourisme hivernal de montagne s’est en effet fortement développé en France, avec la construction de stations de sports d’hiver dans le cadre des plans neige initiés par l’État. L’une des conséquences de cette politique de développement des stations a été de rendre les espaces de montagne fortement dépendants du ski. Le rapport publié ce jour analyse les effets du changement climatique sur les stations de montagne en particulier, et examine dans quelle mesure celles-ci s’y sont adaptées. Au total, 42 stations - réparties sur les Alpes, les Pyrénées, le Massif central et le Jura - ont été contrôlées par une formation inter-juridictions (FIJ) associant la Cour et les chambres régionales des comptes (CRC) Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur. En outre, la constitution d’une base de données comprenant 200 stations a permis de procéder à une analyse statistique plus exhaustive. Si l’enquête dresse le constat d’un déclin du modèle économique du ski français, elle souligne également que les politiques publiques d'adaptation ne sont pas à la hauteur des enjeux et livre six recommandations qui permettraient de trouver des voies pertinentes de diversification.
Bien que le ski et la planche à neige correspondent aux produits d’appel de la montagne, qui a dit qu’il fallait absolument s’y adonner pour profiter de la station? Entre le sport et le bien-être, l’avant et l’après-ski, se trouve une expérience renouvelée.
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GENERALVERSAMMLUNG
Bündner Bergbahnen steigern Wertschöpfung um 60 Prozent
Die Bündner Bergbahnen werden für den Tourismus immer wichtiger: In den letzten 25 Jahren haben sie gemäss einer neuen Studie ihre Wertschöpfung um 60 Prozent erhöht.
Eine Studie zeigt: Das Bergbahnangebot ist bei der Wahl der Destination relevant. Die Wertschöpfung der Bündner Bergbahnen liegt bei rund einer halben Milliarde Franken.Bild: Engadin St. Moritz Tourismus AG, Andrea Badrutt
Seit der Jahrtausendwende konnte die Wertschöpfung der Bündner Bergbahnen um fast 60 Prozent gesteigert werden. Sie liegt gemäss Oliver Hoff, EBP Schweiz AG und Autor der Wertschöpfungsstudie zu den Bündner Bergbahnen, bei rund einer halben Milliarde Franken in Graubünden und zusätzlich über 200 Millionen in der Schweiz.
Die direkte Wertschöpfung der Bergbahnbranche, Gastronomie und chemischen Industrie sind in Graubünden ungefähr gleich gross. Für 86 Prozent der Gäste ist das Bergbahnangebot bei der Wahl der Destination relevant. Durch die Tätigkeit der Bergbahnen werden 3700 Vollzeitstellen im Kanton Graubünden und insgesamt über 5000 in der Schweiz ausgelöst. 69 Prozent der Bergbahngäste übernachten, 17 Prozent sind Tagesgäste und 14 Prozent sind Einheimische. Die Übernachtungsgäste beinhalten sowohl Hotel- als auch Ferienwohnungsgäste und Zweitwohnende.
Die Hälfte der grossen Schweizer Skigebiete setzen auf ein dynamisches Preismodell – wie zum Beispiel die Bergbahnen Adelboden-Lenk. Mittlere und kleinere Bergbahnen bleiben in der Tendenz bei fixen Preisen.
Anfang Oktober hat die Bergbahnen Adelboden-Lenk AG das operative Geschäft aufgenommen. Die neue Betriebsgesellschaft bietet die Chance, Prozesse neu zu denken und Strukturen zu überarbeiten.
Im Schweizer Skiticketing-Markt bündeln Ticketcorner und Smart Pricer seit dem 1. August das Know-how. Das deutsche Dynamic-Pricing-Unternehmen ist neu für die Preis-Management-Software bei Ticketcorner Ski zuständig.
Avec un réchauffement planétaire de deux degrés, un tiers des domaines skiables suisses pourraient manquer de neige. En Europe, plus de la moitié seraient touchés, selon une étude publiée lundi dans la revue Nature Communications.
Ein Drittel der Schweizer Skigebiete hat bei einer Klimaerwärmung von zwei Grad Celsius ein sehr hohes Schneemangelrisiko. Europaweit wäre sogar über die Hälfte aller Skigebiete betroffen. Das prognostizieren Forschende in der Fachzeitschrift «Nature Communications».
Die am Montag veröffentlichte Studie von Forscherinnen und Forschern aus Frankreich und Österreich hat die Situation von 2234 Skigebieten in 28 europäischen Ländern untersucht. Darunter sind 203 Skigebiete in den Schweizer Alpen mit einer Gesamtfläche von 144 Quadratkilometern.
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Grande nouveauté pour le Magic Pass 2024-2025: la coopérative s’ouvre à de nouveaux horizons et franchit une nouvelle frontière en accueillant deux stations italiennes: San Domenico et Devero, situées à une heure au nord de Milan. Une étape symbolique dans le développement de Magic Pass qui pénètre une nouvelle région géographique et linguistique, renforçant sa position en tant qu’acteur majeur d’un tourisme quatre saisons.
Acheter tôt pour payer moins: cette promesse faite par les stations suisses depuis quelques années brouille les prix des forfaits de ski, montre une enquête de SRF. Si certains skieurs s'y retrouvent, d'autres s'agacent de ces "prix dynamiques". Monsieur Prix pointe, lui, un manque de considération pour la clientèle.
Depuis quelques années, les stations de ski suisses promettent des tarifs réduits aux personnes qui achètent leur abonnement très tôt. Ces "prix dynamiques" permettent notamment d'éviter les files d'attente.
"J'achète en avance parce que c'est moins cher. Et, comme ça, on n'a pas à faire la queue", confirme une skieuse. "Il y a un bon rabais en achetant son forfait à l'avance", renchérit un touriste britannique.
Le monitoring mené par la télévision alémanique montre toutefois qu'il existe de fortes variations de prix parmi les stations. Même en prévente, le prix moyen du forfait journée est par exemple plus élevé de 10% à Zermatt (VS), contre 4% à Verbier (VS), en comparaison avec la saison précédente.
Les festivals d’hiver sont une source de couleur et de lumière durant la saison froide. La créativité de certaines destinations promet d’éblouir et de charmer les visiteurs.
Des abonnements de ski qui s’arrachent et des bouchons aux retours de stations. Ce constat cache pourtant des chiffres implacables: «le» sport national helvétique est en déclin
La mobilité est en effet un enjeu majeur, confirme Anne-Sophie Fioretto, professeure à l'Institut Tourisme de la HES-SO Valais, dans La Matinale. Aujourd'hui, il "faut savoir comment combiner le confort personnel et l'intérêt collectif". Elle souligne les efforts de certaines stations, qui ont développé les offres de transports publics ou le confort proposé aux usagers des transports publics.
Depuis plusieurs semaines, des localités chablaisiennes sont paralysées par le trafic du dimanche soir, ce que dénoncent notamment les Jeunes Vert·e·s vaudois et valaisans. Stations, élus et entreprises misent sur le développement des transports publics
In einem ersten Schritt hat Tourismusdirektor Peter Donabauer den österreichischen Yukigassen-Verband mit Sitz in Filzmoos gegründet. Damit erhielt man auch Sitz und Stimme in der International Alliance of Sports Yukigassen, dem Weltverband der Yukigassen, sowie die Lizenz zur Durchführung der offiziellen Österreichischen Yukigassen-Meisterschaft, die vom 21. bis 23. März 2024 in Filzmoos stattfinden wird.
Yukigassen (japanisch für Schneeschlacht) hat seinen Ursprung in den späten 80er Jahren in Japan und hat sich seitdem international, vor allem im asiatischen, nordamerikanischen und skandinavischen Raum stark verbreitet. Die Weltmeisterschaft findet jährlich auf Hokkaido statt.
Yukigassen unterscheidet sich von einer gewöhnlichen Schneeballschlacht durch klare Regeln und Strukturen, auch die Schneebälle sind standardisiert und werden maschinell hergestellt. Um erfolgreich zu sein, gibt es eine Reihe von Strategien und Taktiken, die von den Teams angewendet werden können.
Après Andermatt, le groupe américain rachète à l'investisseur tchèque Radovan Vitek les remontées mécaniques de la station. Il prévoit d'investir environ 30 millions de francs sur cinq ans.
La rumeur est aussi insistante que les acteurs silencieux. Le géant américain du sport d’hiver, Vail Resorts, serait en négociations très avancées pour racheter les remontées mécaniques de la station valaisanne. L’annonce pourrait intervenir dans les prochains jours
Une tendance se précise dans le bilan de la saison 2022-2023 dressé par les remontées mécaniques suisses. La fréquentation totale des stations de ski est en baisse, mais les domaines skiables situés au-dessus de 1800 mètres s’en sortent bien. Les explications de l’auteur de l’étude, Laurent Vanat
Si la hausse de la température moyenne du globe dépasse +3 °C, 91% des milliers de domaines skiables du Vieux-Continent risquent de connaître un faible enneigement. Un aléa qui ne pourra être que partiellement compensé par la multiplication des canons à neige, annonce une étude
A third of Swiss ski resorts face a very high risk of snow shortage if the climate warms by two degrees Celsius. Across Europe, even more than half of all ski resorts would be affected. This is what researchers predict in the scientific journal Nature Communications.
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