A trove of internal documents obtained and published by The New Lede show Swiss chemical giant Syngenta knew in the 1960s and 1970s that the widely used weedkiller paraquat could build up in human brain tissue and trigger effects recognized as hallmarks of Parkinson’s disease.
Il faudrait prendre le temps de lire l'ensemble des documents publiés, mais un simple échantillon montre une nouvelle fois la façon dont un géant de la chimie a volontairement caché des informations essentielles sur la dangerosité d'un de ses produits, Syngeta et le Paraquat en l'occurrence. Depuis le compte-rendu d'autopsie d'un fermier en 1976 (!) jusqu'à des documents des années 2000-2010 qui montrent sans ambiguïté que le lien entre l'herbicide et la maladie de Parkinson est établi et que des stratégies d'influence sont mises en place pour organiser l'ignorance, cultiver le doute, les éléments publiés sont révélateurs des pratiques des industriels pour continuer à engranger les profits. Le tout au détriment en premier lieu des agriculteurs et ouvriers agricoles qui sont les principales victimes.