Une étude de 2014 a été réalisée sur 353 dockers, en activité ou non, du port Nantes-Saint-Nazaire. Elle démontre que les victimes exposées à plusieurs facteurs cancérogènes développent plusieurs cancers simultanément : larynx, poumon, thyroïde, rein ou prostate. Plus de la moitié des dockers vivants sont malades.
« C’est la double peine, estime le Dr Eric Tron, qui intervient à leur côté. Non seulement ils sont malades à l’âge de la retraite, mais les autorités ne reconnaissent pas de lien direct entre leur pathologie et leur exposition aux produits dangereux. »
Alors, l’APPSTMP se bat pour informer et soutenir les malades.
Via congruence-RSO