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L’agence bio publie un état des conversions et déconversions sur les 10 premiers mois de 2023. Tour d’horizon. Une apparente stabilité qui cache de fortes disparités selon les filières. Au total, ce sont 1 000 exploitations qui se sont déconverties depuis le début de l'année…
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Après s’être stabilisé autour de 4200 sur l’année 2022, le nombre d’exploitations collectées en lait de vache biologique est descendu à 4071 en janvier 2023…
En janvier, le nombre de livreurs de lait bio enregistrés diminue par rapport aux mois précédents (source : FranceAgriMer, SSP). Avec 4071 exploitations bio, ce nombre est en deçà de celui de janvier 2022 (-1 %), souligne le dernier rapport du Cniel…
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Face à la chute de la consommation de lait bio en France, le groupe coopératif normand doit gérer ses excédents alors que 5 % de ses achats de lait sont réalisés sous ce label. Son objectif de 10 % de production globale en bio en 2025 paraît compromis, les conversions des autres cultures étant gelées…
Parmi les cinq branches d'activité du groupe (viandes, agricole, légumes et fruits frais, boissons), celle du lait totalise un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros en 2021, soit 40 % de son activité…
Sur le total des volumes de lait apportés, seuls 5 % sont du lait bio fourni par ses 340 adhérents référencés. Mais face à ce nouveau mouvement, Agrial vient de prendre la décision de suspendre « temporairement » les nouvelles conversions en bio pour toutes ses productions. En 2018, il envisageait pourtant de passer 10 % de toutes ses productions en agriculture biologique d'ici à sept ans…
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Encore plus quand on est en phase de conversion, l’autonomie fourragère est cruciale pour les élevages bovins en agriculture biologique. Le cahier des charges de l’agriculture biologique fixe à 60 % le minimum d’autonomie alimentaire. Plus qu’une contrainte, l’autonomie alimentaire est primordiale pour l’équilibre économique...
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Le Gaec du Gologouët est passé d’un système intensif à une conduite très herbagère valorisée par la conversion à l’AB. Une évolution, balisée par de nombreux choix techniques.
Coût alimentaire maîtrisé : « En production laitière, le maïs est plus facile à gérer. Le système herbager est moins sécurisant mentalement : tu es toujours sur le fil, en fonction de la météo, de la pousse…
Parfois, il faut accepter de ne sortir les animaux que deux heures », explique Vincent Daboudet. Mais d’un autre côté, le système économe mis en place a rapidement porté ses fruits. « Sur la période de conversion, en livrant 150 000 L de moins, notre marge lait a pourtant progressé.
Cela s’explique bien sûr grâce à la prime à la conversion de 30 € / 1 000 L, mais aussi par la maîtrise des investissements et un coût alimentaire limité à 31 € / 1 000 L pour un lait payé à 335 € sur 2016 – 2017. »
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Produire du lait de manière la plus économique possible et viser l'autonomie protéique et une qualité optimale des fourrages : les principaux objectifs de Frédéric Massié au Gaec des Liguiès à Valdériès en conversion bio depuis 2016.
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Selon Skal (organisme néerlandais de certification de produits biologiques), 136 exploitations laitières ont commencé leur transition vers le biologique l’année dernière, soit une hausse de 56% par rapport 2015. Aux Pays-Bas, il faut compter au moins 18 mois entre la notification des parcelles et la vente de lait biologique. Skal a certifié 23 exploitations laitières. Ces entreprises ont achevé leur conversion et peuvent désormais vendre leur lait biologique. Les Pays-Bas comptent actuellement 380 exploitations laitières converties. En 2014, il n’y en avait encore que 350.
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La Haute-Normandie encore timide dans la production de lait bio
L’accélération des conversions laitières en bio est surtout le fait des régions où la production laitière est déjà forte, en particulier en Bretagne et Pays de la Loire. En ex-Haute-Normandie, signale Laurent Moinet, président du Groupement régional des agriculteurs bio de Haute-Normandie (Grab HN), « on enregistre cette année dix conversions, pour un effectif de 90 fermes laitières biologiques ». L’engouement pour la bio en lait reste donc très mitigé dans l’Eure et en Seine-Maritime « où la production à l’herbe, pilier du système biologique, reste perçue, à tort, comme difficile, tandis que les Bas-normands ont conservé leur savoir-faire herbager », analyse Laurent Moinet. En ex-Basse Normandie, près de 70 passages en bio ont été observés en 2016. Sur http://www.paris-normandie.fr/region/la-seine-maritime-et-l-eure-encore-timides-dans-la-production-de-lait-bio-pourtant-en-plein-essor-en-france-CL7728477#.WFAthn3S7jc
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En six mois, le taux de conversion à l'agriculture bio a bondi de 10 % en France, portant à 7,2 % le nombre de fermes de ce type.
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2016 est une année record pour l’agriculture biologique en Bretagne avec 310 nouvelles fermes bio sur le premier semestre, contre 230 pour toute l’année 2015 et 137 en 2014. Selon l’observatoire de la production bio en Bretagne, près de la moitié (148) de ces nouvelles fermes bio sont des fermes laitières…
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A l’heure où se discute la Loi d’orientation agricole, l’Agence bio alerte sur la baisse des conversions en bio plus inquiétante que les arrêts de certification en 2022. Elle appelle à garantir un droit au bio…
En 2022, il y a eu 5 245 nouveaux producteurs bio, soit une baisse de conversions de 5,5 points par rapport à l’année précédente (7 706 nouveaux producteurs bio en 2021), selon les résultats de l’étude de suivi des engagements menée par l’Agence bio…
Cette diminution inquiète l’Agence bio plus que les 3 380 arrêts de certification biologique enregistrés en 2022 (+1,1 point), dont la moitié relève de départs à la retraite, et non d’un choix dans la conduite de l’exploitation agricole…
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Même si le nombre des adeptes d’une production agricole respectueuse de l’environnement, prêts à abandonner engrais et pesticides de synthèse, continue de croître, le rythme des conversions ralentit. Un constat fait par l’Agence Bio, qui estime à 4 070 le nombre de nouvelles fermes du secteur recensées entre janvier et fin août, soit une progression de 7 %. Un an plus tôt, ce chiffre atteignait 5 411 sur la même période, affichant alors une croissance des effectifs de 12 %. C’est la première fois que l’agriculture bio connaît un tel ralentissement.
Sur le terrain certains jettent aussi l’éponge, la tendance se renforce. « Nous avons comptabilisé 2 173 arrêts fin août, ce qui représente 3,7 % de la population du bio au 1er janvier 2022. Il y a un an, le nombre d’arrêts était de 1 533, ce qui correspondait à un pourcentage de 2,9 %. Nous estimons qu’à la fin 2022 nous aurons dépassé les 5 % d’arrêts. »
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Trois éleveurs de Mayenne ont témoigné lors d’une journée porte ouverte sur leur conversion bio en cours ou achevée. Quelle complémentation pour les veaux ? Comment faire du maïs bio ? Quels résultats économiques ? Quel aliment de production ? De nombreuses questions ont raisonné dans la tête de ces agriculteurs qui ne regrettent pas leur décision aujourd’hui.
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Anthony Gilmas, agriculteur à La Ferrière-Bochard (Orne) va passer au bio et renouvelle entièrement son troupeau avec une nouvelle méthode de croisement : le procross. Sa ferme compte 60 vaches laitières (contre 30 au début) et 73 hectares de superficie. L’Ornais s’est alors lancé dans une grande opération, peu commune : le croisement de ses vaches avec plusieurs races afin d’obtenir une vache laitière parfaitement adaptée au pâturage qu’il va mettre en place. Ce métissage (pour obtenir un modèle génétique adapté) est inspiré des modèles irlandais et de Nouvelle-Zélande...
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En 2016, le nombre de conversions laitières a été particulièrement élevé en partie du fait de la crise du lait conventionnel. Les répercussions de celle-ci se font encore sentir puisque le passage en bio d’élevage laitiers conventionnels reste le moteur du développement de la production bio en région. Néanmoins, bien que majoritaire, la part des nouveaux bio en production laitière est plus faible en 2017 qu’en 2016 : 26% contre 48% l’année passée.
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La période de conversion, quand le prix du lait est conventionnel, les charges bio et les aides en attente, peut être délicate au niveau économique. Exemple
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Conversion et installation : Vous voulez convertir votre ferme au bio ? Evaluez votre système de production et déterminez les éléments à modifier dans vos pratiques, identifiez vos points d'appui internes et externes, trouvez des solutions les plus adaptées. Vous rêvez de vous installer comme agriculteur bio ? Définissez une organisation, adaptée à votre projet et qui vous convient, appréhendez votre marché et le contexte de votre projet, listez toutes les questions pour une installation en bio réussie.
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3000 producteurs se sont convertis ou installés en agriculture biologique depuis le début de l’année. Au regard de régions les plus concernées, difficile de ne pas mettre ces chiffres en parallèle de la crise. Ce nouvel engouement pour la bio va bien au-delà des prévisions et les Régions craignent de ne pas pouvoir accompagner le mouvement.
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Avec plus de 21 nouvelles fermes bio installées chaque jour en France au cours des 6 premiers mois de l'année, au 30 juin 2016, le nombre de producteurs français engagés en bio s'élevait à près de 31.880, contre 28.725 fin 2015, soit une hausse de 10%. Le taux de conversion était déjà en hausse de 8,5% en 2015.
D'ici la fin de l'année, l'Agence Bio estime que les terres consacrées au mode de production bio dépasseront la barre des 1,5 million d’hectares, soit plus de 5,8% de la Surface agricole utile (SAU).
Sans surprise, c'est l'élevage bovin laitier bio qui connaît l'essor le plus important avec plus de 560 producteurs spécialisés engagés en 6 mois. La filière laitière française a été durement touchée par l'effondrement des cours mondiaux du lait entraînant les exploitations dans des situations financières tendues. Or le lait bio se vend plus cher que le lait standard.
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