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Un nouveau service pour les 435 territoires porteurs de politiques alimentaires. Cette plateforme s’adresse à tous les acteurs des politiques agricoles et alimentaires locales et à tous les partenaires, observateurs et chercheurs intéressés pour collecter des données sur les politiques alimentaires…
Elle est conçue comme un espace collaboratif où les acteurs des PAT peuvent :
- partager leurs expériences
- trouver des réponses à leurs questions
- découvrir de nouvelles idées pour développer des systèmes alimentaires plus durables et résilients
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La capitale veut porter à 100% la part de produits durables dans les assiettes des convives, dont 75% de bio et 50% de local d’ici 2027. Un défi de taille au regard des 30 millions de repas servis chaque année dans les 1 300 restaurants collectifs municipaux…
Pour augmenter la part de produits durables et locaux, la ville peut compter sur les 660 agriculteurs bio d’Île-de-France. Pour aller plus loin, elle a créé, avec Le Havre, Rouen et des communes de l’Yonne, un opérateur pour structurer des filières : AgriParis Seine…
Le projet alimentaire territorial (PAT) de Paris est certainement l’un des plus ambitieux. Ce colossal pôle de consommation compte très peu de terres agricoles. Même en élargissant la focale à la métropole de Grand Paris, les terres agricoles ne représentent que 2,5% de la surface totale des 131 communes et 0,5% des produits agricoles consommés sont produits sur le territoire.
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Animations magasins, campagnes d'affichages, outils PLV... La marque régionale d'Auvergne-Rhône-Alpes, Ma Région Ses Terroirs, communique afin de valoriser les produits dont les ingrédients sont originaires de la région…
Cette marque, déposée début 2020, a été créée par la Région Auvergne-Rhône-Alpes et les représentants du monde agricole et agroalimentaire, pour valoriser la provenance régionale, une attente des consommateurs, « un identifiant qui valorise les entreprises d’AURA qui s’approvisionnent en matière première agricole dans la région »…
« C’est une démarche qui répond aux attentes. Les habitants d’AURA manifestent un engouement réel pour les produits locaux.» En effet, les produits agréés doivent être 100% d’Auvergne-Rhône-Alpes pour les produits bruts, ou être composés d’au moins 80% de matière première agricoles régionales pour les produits transformés…
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Le Syndicat d'eau potable et d'assainissement de Bray Sud a proposé la mise en place d'un dispositif de PSE (Paiement pour services environnementaux) visant à récompenser les services environnementaux des agriculteurs…
Concrètement, l’objectif est de valoriser les zones d’herbages présentes sur les aires d’alimentations de captages. Ces terrains représentent 440 hectares, soit 80% de la SAU. Ceux qui ont des hectares de plaine à disposition seront rémunérés s’ils n’y touchent pas. Il faudra respecter certaines conditions, comme de pas asperger la zone de produits phytosanitaires ou faire attention au plafond d’azote de la zone. S’ils respectent ce petit cahier des charges, ce sera bon…
La rémunération devrait tourner autour de 130 euros par hectare et par an…
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En Seine-Maritime, sur le plateau des Hauts Bosc, la SAS Métha des Bosquets est l’exemple même d’une synergie réussie entre acteurs locaux pour préserver l’élevage. L’unité de méthanisation, qui a fait l’objet de concertations en amont de sa réalisation, a été bien acceptée par la population…
« La Métha des Bosquets a tout de suite été imaginée comme un projet de territoire du plateau des Hauts Bosc, autant qu’un projet agricole. Il regroupe onze polyculteurs éleveurs, dispersés sur le territoire, qui alimentent le digesteur principalement en fumier et lisier. De la paille et du maïs ensilage viennent compléter la ration à certaines périodes de l’année. Le maïs est utilisé lorsqu’il y a un manque de produits méthanogènes, dans la limite de 5 % »…
« Pour ces éleveurs, l’intérêt de la méthanisation n’est pas le complément de revenu (…). L’argument premier est la résolution de leurs problèmes de mises aux normes de leur stockage d’effluents. Et le second est l’allègement de la charge de travail avec l’embauche d’une personne qui est exclusivement sur la partie transport des matières organiques et de l’engrais organique issu du méthaniseur »…
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Un basculement appelé à changer profondément beaucoup d’aspects de la société française, de la révolution des modes de vie aux données nouvelles de la vie économique…
Après des décennies d’indifférence et de relégation au profit de la capitale et des métropoles, ce que l’on n’appelait plus que « la France des territoires » ou « la France périphérique » est en train de revivre et peut-être même de reprendre l’avantage. Ce qui justifie de lui rendre son nom de « province » : le sentiment d’infériorité d’hier fait place à une nouvelle fierté…
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La métropole de Rennes vient de dévoiler un ambitieux projet pour une accroitre l’agriculture naturelle sur son territoire et offrir une alimentation accessible à tous… Contrairement à d’autres aires urbaines, la métropole de Rennes et son architecture en « archipel », mêlant communes et zones naturelles, est composée à « 55 % de terres agricoles ». Une « richesse » source d’alimentation locale pour les habitants et d’emploi, puisque le territoire compte « 700 à 800 fermes »... Un projet alimentaire territorial, pour quoi faire ? L’idée est d’avoir « une politique complète, à l’échelle métropolitaine », pour développer le nombre d’agriculteurs mais aussi aller vers la suppression des pesticides qui polluent l’air, l’eau et les terres. Et proposer une alimentation durable et de qualité aux métropolitains… Quels en sont les principaux objectifs ? Concrètement, elle se donne cinq ans pour atteindre 17 objectifs, dont le doublement de l’intervention foncière de la métropole (qui possède 300 ha de foncier agricole) pour permettre l’installation-acquisition de nouveaux exploitants en agriculture durable ; et la transformation de la totalité ce patrimoine en agriculture biologique. Une démarche qui intègre l’objectif « territoire zéro pesticide en 2030 » et la diminution de 15 % des émissions de gaz à effets de serre issus des activités agricoles… Côté consommateurs, il est question d’améliorer la visibilité des points d’aide alimentaire, et d’« aller vers une majorité de produits bio et locaux » dans la restauration collective municipale. « L’idée est d’être dans une logique intercommunale en travaillant avec les agriculteurs mais aussi les transporteurs et les acheteurs »…
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Pionnière en matière d’agriculture de proximité, Genève, avec sa marque « Genève Région – Terre Avenir », labellise des produits issus de son territoire. Cette initiative unique fait émerger un terroir local peu connu…
L’émergence d’une identité agricole locale forte
La démarche ne s’est absolument pas construite pour répondre à un effet de mode récent. Dès 2004, l’État de Genève crée la marque « Genève Région – Terre Avenir » (GRTA) qui permet de signaler les produits issus de l’agriculture du territoire. Aujourd’hui, 18 ans plus tard, plus de 360 entreprises du cru, qu’elles produisent, transforment ou distribuent ces produits agricoles, bénéficient de ce label qui agit comme un tiers de confiance…
GRTA a d’ailleurs permis de rapprocher considérablement les consommateurs des producteurs locaux, petits et grands…
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Avec la mise en œuvre des nouvelles règles issues des États généraux de l’alimentation et le lancement de la réforme de la Politique agricole commune, 2018 s’annonce comme une année charnière pour l’agriculture du Massif central. Un secteur également confronté au défi d’une meilleure valorisation de son élevage à l’herbe...
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L’ambition d’un large regroupement des producteurs se heurte à la réticence des laiteries à intégrer une structure transversale. Dans les Hauts-de-France, la Fédération régionale des producteurs de lait (FRPL) est à l’initiative d’un projet d’AOP de bassin, réunissant les organisations de producteurs livrant à des laiteries privées et les coopératives présentes sur le territoire.
« Cette structure transversale se veut d’abord un lieu d’échanges d’informations sur l’état du marché, mais aussi sur les besoins des uns et des autres en termes de volume »... Mais l’ambition syndicale de mettre tous les volumes dans un pot commun est loin d’être partagée. En effet, les coopératives régionales semblent peu enclines à être les variables d’ajustement de la collecte...
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Le conseil économique, social et environnemental préconise de l'ambition, de la stabilité, de l'innovation pour l'élaboration des contrats de transition écologique. Le Cese et l'Etat sont sur la même longueur d'onde sauf sur la question des finances... Ces contrats devront être "ambitieux" avec des "objectifs et indicateurs précis" et susciter l'adhésion des territoires…
"Ces contrats pourront se signer avec des territoires très engagés ou non dans la transition écologique et aux profils différents : outre-mer, métropole, montagne, littoral, urbain, rural. Ils devront êtres axés sur des projets aux dimensions multiples : énergies renouvelables, biodiversité, circuits courts, économie circulaire...."
Les 15 territoires démonstrateurs seront sélectionnés début 2018 après concertation...
Les circuits courts alimentaires de proximité répondent aujourd'hui à des attentes sur les plans économique et social que ce soit pour : le producteur (sécurisation de son modèle économique, reconnaissance du métier),le consommateur (« juste prix », qualité, quête de sens)un territoire (création d'emplois locaux, économie sociale et solidaire, lien social). Si les avantages sociaux et économiques de ces modes de distribution semblent évidents, l'Avis de l'ADEME fait le point sur leur impact environnemental.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Vous avez sans doute déjà acheté cette marque de lait, Mont Lait, sans vraiment savoir qui se cachait derrière. Cyberbougnat vous explique tout au sujet de cette initiative régionale.
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Pour ce faire, les Régions disposent d’une enveloppe annuelle minimale de 700 M€ par an sur l’ensemble de la programmation et du transfert annuel annoncé d’une enveloppe de 100 M€ de crédits de l’État…
Les Régions et Départements de France ont rappelé qu’ils étaient le premier partenaire local des agriculteurs pour défendre la souveraineté alimentaire nationale. C’est dans ce sens qu’un courrier adressé au Premier ministre demande que la restauration collective repose sur des produits agricoles français…
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De nombreux Français s'approvisionnent directement auprès d’agriculteurs et d’agricultrices, par exemple dans l'un des 567 magasins de producteurs recensés en 2023. L’achat local : Une bénédiction pour nos territoires… Découvrez dans notre vidéo comment l'argent dépensé dans ces magasins est réinvesti dans les territoires et comment ils contribuent de manière significative au maintien local des richesses, notamment par le soutien aux petites et moyennes entreprises, principaux fournisseurs des producteurs… Acheter dans ces magasins va au-delà de l'acte d'achat, c'est un engagement concret envers les producteurs locaux, les entreprises régionales, et c'est un soutien direct au maintien des emplois et des services dans les territoires…
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La région qui a produit la plus grande valeur de lait en 2021 était le sud de l'Irlande (2,4 milliards), suivi par la Bretagne en France (2,0 milliards) et la Lombardie en Italie (1,8 milliard).
Cinq régions supplémentaires ont généré du lait pour une valeur d'au moins 1 milliard d'euros : les Pays-de-la-Loire et la Basse-Normandie en France, le Weser-Ems et le Schleswig-Holstein en Allemagne et la Galice en Espagne.
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Diversité des ruralités : « Typologies et trajectoires des territoires »
Cette étude propose une nouvelle lecture de la France rurale, dans la continuité des travaux typologiques menés par la DATAR en 2003 et 2011. Deux approches complémentaires sont proposées pour définir les fonctions qu’occupent les espaces ruraux : • Une lecture structurelle, caractéristiques socio-économiques et dynamiques • Une lecture systémique, qui qualifie les contributions actuelles et potentielles des espaces ruraux aux grands enjeux de transitions...
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La France est le premier pays en nombre d’AOP laitières en Europe. On estime à 53 000 emplois directs sur tout le territoire. Leur poids économique est considérable avec près de 3 milliards d’euros de chiffre d’affaires au global, 16 000 producteurs de lait, 1 280 producteurs fermiers, 380 établissements de transformation…
La production est ancrée sur le territoire. En volume, 70 % des fromages AOP proviennent de régions montagneuses. « Pour faire simple, il suffit d’interroger des élus d’une zone de montagne pour avoir une idée de ce qui se joue en termes d’emploi ». Les résultats sont sans appel. Il y a bien un effet AOP…
C’est vrai aussi sur le plan touristique. Quand on parle patrimoine gastronomique, savoir-faire ancestraux, traditions millénaires, les AOP sont rarement loin. Dans certaines régions, les acteurs du tourisme ont su créer de véritables parcours avec d’autres produits de terroir ou d’autres AOP…
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Selon les achats en grande distribution, c'est en Alsace que l'on achète le plus de marques locales, talonnée par la Bretagne. Derrière, on retrouve les Basques, les Francs-comtois et les Savoyards…
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En Chartreuse (Isère), un GFA mutuel associant des agriculteurs et non-agriculteurs freine l’érosion du foncier agricole et la spéculation…
La dimension locale du GFA et son ticket d’entrée abordable (40 €/part sociale) facilitent l’adhésion d’investisseurs citoyens concernés par l’évolution de leur cadre de vie. D’autant que l’achat en circuits courts y est une seconde nature...
Le GFA en chiffres : 45 investisseurs, dont un quart d’agriculteurs, et part sociale à 40 €…
Ce numéro spécial illustre le large panorama des services et impacts de l’élevage européen. Il développe non seulement le rôle de l’élevage vis-à-vis de la production de denrées alimentaires, de l’emploi, des dynamiques territoriales et de la construction des paysages, mais aussi comment l’élevage pourrait mieux répondre aux attentes légitimes de nos concitoyens en matière de préservation de l’environnement, de bien-être animal et de traçabilité des circuits alimentaires.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Dans le Pays basque, il n'existe pas encore de filière pour valoriser la production de lait biologique. Une structure est en cours de création, elle associe producteurs, la coopérative Biolait, le syndicat de la Nive et les magasins Biocoop. ..
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Prévus dans la loi d’avenir pour l’agriculture, les projets alimentaires territoriaux (PAT) sont élaborés de manière concertée à l’initiative des acteurs d'un territoire. Ils visent à donner un cadre stratégique et opérationnel, à des actions partenariales répondant aux enjeux sociaux, environnementaux, économiques et de santé. L’alimentation devient alors un axe intégrateur et structurant de mise en cohérence des politiques sectorielles sur ce territoire. Construisez-le votre !
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Ce concept de terroir, très franco-français, évoque l’alliance des hommes et de la terre, une alchimie de l’ordre du mystère...
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Face aux mutations de filières ouvertes sur le monde, on a pu craindre que les liens entre élevages et territoires se distendent. Or, il n’en est rien et l’élevage herbivore est bel et bien ancré dans les nouvelles ruralités françaises. Or, il n’en est rien et l’élevage herbivore est bel et bien ancré dans les nouvelles ruralités françaises...
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