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Après les résultats parfois décevants d’études menées à l’étranger, un bilan de l’Atelier parisien d’urbanisme sur quelque 9 000 logements sociaux parisiens montre que leur consommation d’énergie réelle a baissé en moyenne de 28 % après rénovation.
"Parlons de la marche aux heures sombres. Une marche urbaine nocturne, a fortiori sur un itinéraire quotidien, s’apparentera plus facilement à un passage obligé qu’à un moment pour soi. Comment faire alors pour qu’un trajet nocturne réalisé à pied devienne un moment de détente et ne se réduise pas à l’élaboration d’une stratégie pour relier au plus vite, et le plus sûrement, un point de départ et sa destination ? Quel arbitrage pour les villes entre les enjeux d’économie d’énergie, de biodiversité et de prise en compte des besoins des riverains ?"
CHRONIQUE. Monter et descendre régulièrement les escaliers est associé à une baisse des facteurs de risque de maladies cardiovasculaires. C’est aussi, potentiellement, une économie de l’équivalent de la consommation électrique d’une grande ville comme Bordeaux.
La capitale savoyarde expérimente l’extinction de son éclairage public entre minuit et 5 heures du matin. Sa décision est saluée par le parc naturel régional de Chartreuse, dans lequel 62 % des communes appliquent déjà cette mesure.
TRIBUNE. Face à la crise énergétique et écologique, l’architecte des bâtiments de France Vivien Chazelle appelle, dans une tribune au « Monde », à s’inspirer des méthodes anciennes de construction, durables et peu énergivores.
L’ANPCEN plaide pour plus de sobriété lumineuse et énergétique en France, avec des mesures simples, peu coûteuses et de bon sens, ainsi que pour des progrès portant sur l’ensemble des éclairages (et non sur les seules enseignes et publicités lumineuses). L’ANPCEN dévoile les évolutions de perception de (...)
Face à l’impératif écologique, comment l’action publique, les pratiques professionnelles et citoyennes se sont-elles positionnées et reconfigurées en France dans les champs de l’urbanisme et de l’architecture depuis les années 2000 ? Comment se sont traduites les injonctions au développement durable puis à la transition écologique, dans les politiques publiques, les dispositifs de médiation et les situations de projets ? Cet ouvrage analyse, dans une perspective compréhensive et critique, les sphères politiques, professionnelles, citoyennes, scientifiques et médiatiques, qui se sont mobilisées et ont interagi pour négocier ce tournant sociétal. Il rend compte des tensions qui se sont manifestées entre une approche de la ville écologique encore marquée par les logiques normatives et productivistes, et une autre fondée sur l’idée de sobriété et de capacité du citoyen-habitant à maîtriser la transformation de son cadre de vie. Dans un contexte économique très influencé par des logiques néolibérales, il questionne la notion même de « fabrique » qui s’est progressivement substituée à celle de production dans les domaines de la transformation urbaine depuis le début de ce troisième millénaire.
S’affranchir des énergies fossiles constitue une réelle opportunité pour favoriser le tournant vers une mobilité décarbonée.
La métropole d’Alsace est pionnière dans la diminution de la luminosité artificielle, à la fois pour des raisons d’économies d’énergie et pour lutter contre la pollution lumineuse.
Carotte de tabac, croix de pharmacie, lunettes d'opticien... deux jeunes designers réinventent ces enseignes commerciales pour en faire des enseignes autosuffisantes en électricité.
TRIBUNE. L’économiste et sociologue Pierre Veltz estime, dans une tribune au « Monde », que le « déconfinement » de l’écologie passe par le développement d’une économie socialement juste, et créatrice de valeur et d’emplois de qualité.
L'éclairage public est l'un des principaux postes de dépense des villes françaises, mais aussi une problématique essentielle au vu des enjeux écologiques : garantir confort et sécurité sur l'espace public, proposer de nouveaux services tout en réduisant sa consommation d'électricité ainsi que la pollution lumineuse... Voilà la grande équation qui se cache derrière chaque lampadaire. Décryptage.
En France, le confinement a donné à certaines municipalités l'occasion de diminuer leurs éclairages. Outre la possibilité de préserver l'environnement, il est également question de faire des économies plutôt bienvenues au regard de la situation
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En réponse à l’explosion des prix de l’énergie, de nombreuses collectivités ont décidé en urgence des extinctions de leur éclairage public selon des conditions variables et souvent sans consultation préalable. Mais la décision de tout éteindre est-elle forcément la solution ? Quelles sont les attentes des différents publics et quelles sont les solutions à la disposition des aménageurs pour y répondre ? Comment faire de la ville nocturne un espace inclusif sans pour autant ignorer le coût et les nuisances, notamment pour la faune, d’un éclairage non régulé ? C’est à ces questions que Diego Mermoud-Plaza répond à partir de l’exemple de la ville de Bordeaux, dont la réflexion sur le sujet a débuté avant les crises énergétiques récentes.
Découvrez le nouvel épisode de "Fenêtre sur la ville" consacré à l'épineuse question de la lumière en ville.
L’éclairage public connaît des mesures de restriction pour réduire la facture énergétique et la pollution lumineuse. Derrière cette dynamique, se trouvent de nombreux enjeux d’acceptabilité.
Alors que chacun est appelé à la sobriété dans un contexte de crise énergétique, il faut aussi rappeler que l’éclairage nocturne et ses excès constituent une grave menace pour la biodiversité.
Cette décision devance un décret gouvernemental publié début octobre qui prévoit sur tout le territoire une extinction à partir du 1er juin 2023.
Sur la zone du Grand Genève, rester dans le noir, une seule nuit, c’est économiser la consommation électrique de 30 familles sur une année entière.
D’où vient la lumière de nos villes ? Et surtout, où va-t-elle ? Face aux enjeux sociaux et environnementaux, penser un futur de l’éclairage sobre et désirable s’impose comme un enjeu majeur du monde de demain. Interview avec le concepteur lumière Roger Narboni, qui conçoit l’éclairage urbain sur mesure selon les quartiers et les cultures qui y occupent l’espace, et François Darsy, responsable marketing chez Signify.
"L'objectif de cette thèse est de développer un outil dédié à une description précise de l'environnement thermique à l'extérieur des bâtiments.Parmi les trois modes majeurs de transfert d'énergie: la conduction, la convection et le rayonnement, nous nous concentrons sur le rayonnement thermique qui est généralement le plus coûteux en temps de calcul et le moins détaillé dans les études de bâtiments. L'idée principale est de faire la simulation avec differents modèles d'air non transparent, afin d'analyser l'influence de certaines hypothèses de modélisation (liées notamment au rayonnement thermique) et de comparer leurs ordres de grandeur. Les résultats des simulations numériques montrent une différence de 2 degrés sur la température de surface du bâtiment en été, ce qui suggère que l'absorption du rayonnement thermique par l'air doit être prise en compte pour des prévisions précises du bilan thermique à l'échelle du bâtiment."
Depuis lundi soir 28 juin 2021, la ville de Limoges a décidé de faire coup double. Près de la moitié de la ville sera plongée dans le noir de 23h30 à 5h30 du matin. Il s'agit à la fois de lutter contre la pollutio
Si éclairer la ville la nuit semble une évidence, ne faudrait-il pas entamer, comme le souligne Nicolas Houël, une “pédagogie de la sobriété lumineuse ?
La pollution lumineuse est l’un des grands enjeux de la loi « climat », examinée en ce moment à l’Assemblée nationale. À Lyon, la Ville et la Métropole s’engagent à réduire la place de la publicité, qui en est en partie responsable.
Des lampadaires de nouvelle génération produisant leur propre énergie et pilotés par la technologie apparaissent dans de nombreux projets de smart cities.
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