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Explorez à nos côtés des formes (ré)créatives en clairs-obscurs. Dans le prolongement de son projet de recherche-action Smart Noz, la chaire Noz Breizh convie le public à questionner son rapport à la nuit et aux lumières artificielles à travers deux propositions hybrides : ⮑ ClaroscUBO, un jeu de piste dédié à la sobriété lumineuse (19 mars). En amont du festival RESSAC, la chaire clôture Smart Noz avec un colloque international qui propose d’autres hybridations autour de la sobriété lumineuse. Plus d’infos sur : univ-brest.fr/chaire-noz-breizh Intervenants : Ces animations sont le fruit de collaborations entre les laboratoires Géoarchitecture, LP3C, LABERS, Lab-STICC et les partenaires du projet Smart Noz, coordonnés par la chaire Noz Breizh (UBO). Avec l’aimable participation des habitant.e.s de Brest, de la Cie MonaLuna, des photographes Bénédicte de Kersabiec et Nathalie Le Roux, de Philippe Deverchère (bureau d’études DarkSkyLab), de l’UBO Open Factory, de l’association Les Chats Cosmiques, de Jean-Baptiste Moal (Collectif XYZ), de u2042 et BavAR[t]. Sans oublier les contributions des étudiants de L3 et M1 de l’Institut de Géoarchitecture (UBO) encadrés par Edna Hernández González, des étudiants de 1ère et 2e années DEUST T-MIC (UBO) chapeautés par Alice Pennors, des agences de traduction fictive du M2 Rédaction/Traduction (UBO) supervisées par Caroline Comacle, et des étudiants en Licence de sociologie (UBO), encadrés par gilda charrier. Avec le soutien de l’UBO, de la région Bretagne, de Brest métropole, de la ville de Brest, d’Energ’ence et du Fonds de développement de la vie associative.
Coordonné par Guillaume Duranel et Emmanuelle Faure Ce numéro propose plusieurs retours d’expériences issue de terrains variés : quartiers alter-formels en Colombie (Dréau), « espaces naturels de loisir informel » au Canada (Miaux et al.), petites et moyennes villes françaises (Brouard-Sala et Bergel), quartiers populaires en Belgique (Schaut et Damay), micro-fermes en Gironde (Toublant et al.)… Les degrés de co-construction de la recherche, comme leurs objectifs, sont aussi divers.
Les propositions de communications qui sont attendues en vue du colloque « Le projet comme terrain de la recherche contributive » (9-10 décembre 2024, Grenoble) doivent avoir pour objectif la poursuite des réflexions entamée par la communauté des architectes — et, plus largement, par la plupart des métiers de la conception — sur la place du projet dans la recherche. Ce colloque entend plus particulièrement explorer des « recherches contributives » (Stiegler et al., 2020), soit des recherches associant étroitement des chercheurs issus de différentes disciplines ainsi que les divers réseaux d’acteurs impliqués sur les territoires étudiés. Il accordera une place privilégiée à la recherche-action, à la recherche-projet, à la recherche par le design, ou encore à la recherche-action-formation, soit autant de formes de recherches qui prennent place au sein de nos laboratoires et de nos établissements formant à la conception. Les propositions veilleront à mettre en avant les dimensions pluridisciplinaires, multi-professionnelles et territorialisées des recherches conduites dans les disciplines de projet, et interrogeront notamment leur double statut : comme science et comme exercice professionnel. Il est proposé aux auteurs d’aborder le sujet du colloque selon l’une des deux perspectives suivantes (à préciser dans la proposition) : Perspective n° 1 : Comment se fabriquent les recherches dont le terrain est le projet et quelle en est la valeur ajoutée en matière de production de connaissances/d’actualisation des savoirs ? Perspective n° 2 : Quelle place pour la recherche dont le terrain est le projet dans les parcours d’acteurs territoriaux, de praticiens, de chercheurs, d’enseignants-chercheurs ?
La revue GéoProximitéS (GPS) est une revue scientifique à comité de lecture de géographie et de sciences sociales. Son champ thématique est celui des proximités entendues dans toute leur diversité. Appel à articles courts (6 000 à 11 000 signes) pour un prochain numéro de la revue GéoProximitéS (GPS). Face au succès des articles courts du numéro inaugural ( https://quamoter.hypotheses.org/1440 ), ce format est pérennisé sur l’ensemble des numéros à venir de la revue GéoProximitéS, en plus des articles "format classique". Ce numéro porte sur la thématique "Reproductibilité et transférabilité de la recherche-action participative, une équation possible ? »
Le texte qui suit reprend quelques points développés dans le cadre d’une recherche-action menée sur l’agglomération genevoise afin de questionner certaines conséquences réelles ou attendues de la crise climatique (Breviglieri, 2022). Mon enquête consista d’abord à identifier, à travers la littérature scientifique, la presse quotidienne, et à partir de témoignages de citadin.es croisé.es et questionné.es dans l’espace public au cœur de l’été 2018, une gamme de maux spécifiques rapportés au réchauffement climatique et à l’accélération de la fréquence des pics de chaleur en ville.
Une thèse-saga sur l'histoire de l'éclairage public, ses fonctions et le dialogue sociotechnique permanent qu'elle met en lumière. Comment cette histoire structure encore les modalités de mise en place de la “ville intelligente”, dont tout le monde parle sans être tout à fait au clair avec sa définition, ses enjeux et ses moyens.
10e édition du Séminaire doctoral international U&U (Urbanisme & Urbanisation), à l'École Nationale Sup d'Architecture et de Paysage de Lille, porté par les laboratoires de recherche LACTH (ENSAPL, France) et LAB (UCLouvain, Belgique), du mercredi 28 au vendredi 30 juin 2023. Les partenaires de l'organisation sont la KULeuven, l'UGent, l'ULBrussels, et l'Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai. Le 10e séminaire U&U questionnera la métropolisation en tant que modèle hégémonique, en explorant de nouveaux "hybrides", à travers quatre sujets cruciaux auxquels l'urbanisme et l'urbanisation sont confrontés aujourd'hui : Axe 1 - hybrider les ressources, aborde toutes les modalités de l’urbanisme circulaire et en particulier comment on met en œuvre, ailleurs en Europe, l’objectif de la loi ZAN. Axe 2 - Urbain & rural - explore les potentialités des territoires mixtes (caractéristiques de la région), dans les enjeux climatiques notamment liés aux sols (nappes, alimentation, fertilité, circuits courts, etc.). Axe 3 - hybrider en transfrontalier - étudie des modalités de coopération pour faire projet entre collectivités autonomes politiquement mais interdépendantes comme bassin de vie. Axe 4 - hybrider les pratiques - analyse les méthodes hybrides de recherche-action, design by research, recherche-création, de plus en plus présentes dans les modalités de l'action collective urbaine.
Les champs de l’architecture, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire sont, depuis quelques années, marqués par une multiplication et une diversification des collaborations et initiatives engageant des productions hybrides entre acteurs académiques et opérationnels. En réouvrant la question des relations entre ces mondes, le cahier Ramau 11 apporte un éclairage sur les reconfigurations contemporaines des expertises territoriales grâce à trois entrées : les arènes de production de recherches et d’expertises ; les processus de confrontation et de légitimation des savoirs au sein de ces arènes ; les trajectoires multiples engagées au fil de ces démarches. Si les contributions révèlent des situations très diverses d’ouverture, de croisement, d’entremêlement, d’hybridation et parfois de coproduction, elles montrent que de telles porosités vont de pair avec des processus de polarisation et d’affirmations d’expertises « originelles » par les acteur·rices qui en seraient historiquement détenteur·rices, comme par les autres acteur·rices engagé·es à leurs côtés. Elles montrent par ailleurs que de telles démarches, au-delà de leur diversité et de la quête (parfois fantasmée) de coproduction, sont mues par bien d’autres enjeux individuels et institutionnels.
La neutralité, en science comme ailleurs, est un vœu pieux, voire un leurre, à mieux comprendre, si ce n’est évaluer ou contrôler. Surtout, l’engagement sur un terrain d’études conduit à des surprises, voire à des déconvenues qui font le sel des ouvrages de N. Barley comme par exemple L’anthropologue en déroute (2001). Dans le cadre des approches sensibles en sciences humaines et sociales, les émotions ressenties par le corps, recueillies et partagées, avec plaisir ou déplaisir, ne sont plus considérées comme des perturbateurs de l’analyse mais comme des sésames d’accès à la compréhension humaine. Elles s’imposent à la chercheuse ou au chercheur, la/le surprennent ; elles deviennent des guides utiles, des opératrices d’inclinaisons, voire de bifurcations, dans la recherche scientifique. Longtemps délaissées, les émotions ne constituent plus un obstacle à la rationalité mais un échafaudage à l’avènement d’une orientation théorique spécifique plutôt qu’une autre, à une modification d’attitude sur le terrain, etc. Émotion et cognition sont, pour le pire et le meilleur, définitivement intriquées.
Dans le cadre de sa nouvelle série de "Webinaires de la profession", le Conseil national de l'Ordre proposait une session d'information et de questions-réponses sur le programme d'expérimentation "Engagés pour la qualité du logement de demain" lancé conjointement par les ministres de la Culture et du Logement, et dont l'Ordre est partenaire. Intervenants / programme : - Marjan HESSAMFAR, Vice-présidente du CNOA : Introduction - Marie TAVEAU, Directrice du programme Engagés pour la qualité du logement de demain : Présentation de l'Appel à manifestation d'intérêt & modalités de candidature - Benoît GUNSLAY, Juriste au CNOA : Réponses aux principales questions juridiques posées par cette expérimentation - Valérie WATHIER, Adjointe chef de bureau de la recherche architecturale et urbaine au Ministère de la Culture : Présentation des laboratoires de recherche des ENSA et de leur implication dans l'expérimentation - Olivier CELNIK, conseiller national de l'Ordre : L'utilisation par les agences du Crédit Impôt recherche et des CIFRE - Questions-Réponses : Echange avec les internautes
Secrétaire permanente du plan Urbanisme Construction Architecture (Puca) du ministère de la Transition écologique, Hélène Peskine revient sur la manière dont la recherche-action a pu faciliter la décision publique lors de la crise sanitaire. Et surtout, sur l’intérêt que celle-ci présente au quotidien.
Recherche, art et pratiques numériques est un séminaire transdisciplinaire qui s’intéresse aux perturbations productives que génèrent les collaborations entre les chercheurs en sciences humaines et les artistes dans le domaine du numérique."Des nouvelles formes d’écriture en sciences sociales lorsqu’elles croisent la recherche en art et en design à partir de projets de recherche et expérimentations éditoriales seront présentées le 8 février (14/17H)
La Direction générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature (DGALN) et la Société de Livraison des Ouvrages Olympiques (SOLIDÉO) ont lancé le 9 novembre après-midi un programme inédit de recherche-action intitulé « Coubertin ». Cette convention permet à une équipe de recherche, placée au cœur de la SOLIDEO, d’observer au quotidien le travail effectué et d’en faire le récit. Ainsi, à travers une observation « embarquée » au sein de la SOLIDEO, l’équipe de praticiens et chercheurs impliquée analysera la production architecturale et urbaine des ouvrages Olympiques et sa capacité à transformer les pratiques d’aménagement. Le programme Coubertin permettra de constituer un matériau unique et un témoignage historique « vu de l’intérieur » sur l’aménagement des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
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Le programme de recherche "Les défis économiques d’un foncier et d’un logement abordables" a lancé son site internet conçu pour donner à voir les questionnements, les réflexions, les hypothèses et les résultats des six équipes de recherche engagées dans cet exercice de recherche-action sur les défis économiques du foncier et du logement abordables. Le programme est piloté par un secrétariat technique qui rassemble l’Union sociale pour l’habitat, IDHEAL, et le PUCA.
« Les territoires urbains, complexes par nature, soulèvent des questions cruciales. À l’heure où nos villes suffoquent ou grelottent, enseignants-chercheurs, étudiants, architectes, designers, unissent leurs expertises pour une compréhension scientifique renforcée de la qualité de vie en ville ». Initiée par l’agence d’architecture PCA-STREAM et portée par l’Université PSL, une initiative ambitieuse voit le jour, « programme interdisciplinaire de recherche-action » s’appuyant sur une dynamique collective pour explorer des questions de recherche inédites sur la ville, dispenser des cours et inventer des formations innovantes : la Chaire « Ville Métabolisme ».
Cet ouvrage rassemble des contributions issues de communications effectuées dans le cadre des cinquièmes rencontres internationales du réseau scientifique et pédagogique EnsaÉco, qui se sont déroulées du 17 au 19 novembre 2022 à Toulouse. Ces rencontres, sous le titre : « Urgent ! Propulser la transition écologique : des intentions aux actions », ont été l’occasion de présenter les initiatives mises en œuvre, les freins et les applications concrètes de la transition écologique dans les écoles d’architecture et de paysage en France et à l’international. Cet ouvrage est décomposé en deux parties. Une première décrit des retours d’expériences d’actions et de démarches ayant permis à des enseignements portant sur la transition écologique de se mettre en place dans les écoles d’architecture et de paysage. Une deuxième partie s’intéresse à des retours de « terrain » (recherche, expérimentation, pratiques d’agences, enseignements in situ), visant justement à démontrer comment s’inspirer d’actions concrètes qui se mettent en place dans les territoires. « La transition, action de “passage”, doit aboutir, il est indispensable d’agir davantage ! » C’est à cela que s’attelle le réseau scientifique et pédagogique EnsaÉco depuis sa création, le présent ouvrage étant une nouvelle contribution apportée à l’effort collectif pour réfléchir à l’intégration des enjeux écologiques dans la société, et plus particulièrement dans les écoles d’architecture et de paysage.
Ce colloque souhaite explorer les liens et les résonances entre l’ethnographie et les formes de recherche-action et de sciences participatives. Le colloque s’adresse à un public international de chercheur.e.s en sciences sociales (anthropologie, ethnologie, ergonomie, sociologie, sciences politiques, géographie, sciences de l’éducation, architecture, urbanisme…), de praticien.nes, professionnel.les, militant.e.s ou bénévoles engagé.e.s, dans des expériences de collaboration et de co-construction d’une forme de recherche-action. Pour cela, les communications à plusieurs voix (chercheur/acteur) seront privilégiées et une égale parole sera donnée à chacun.e des intervenant.e.s afin de permettre l’expression d’expériences et d’analyses variées. C’est aussi une manière de faire dialoguer in situ des points de vue différents. L’approche empirique par l’ethnographie et le terrain et par une posture de réflexivité critique sont sollicitées pour comprendre, comparer et interroger les usages de ces dispositifs de recherche participative, ses mécanismes de fonctionnement et ses enjeux théoriques et pratiques. Les travaux présentés devront s’inscrire dans la définition large de l’ethnographie et des recherches participatives, et pourront porter sur la mise en œuvre du processus de recherche et d’action, sur son analyse, sa réception, ses retombées, etc. Les propositions de contribution pourront s’inscrire également dans l’un des six axes de réflexion suivants : 1-Les frontières de l’ethnographie et des recherches participatives 2-Les échelles de l’implication et de la participation : engagement, intervention, militantisme 3-Dispositif de recherche, cadre de travail et boîte à outils 4-Les savoirs en action, les savoirs de l’action 5-Recherche et création, participation et action 6-Limites et critiques des recherches participatives
Comment l'architecture peut-elle contribuer aux dynamiques de transition ? Récit d'une recherche-action avec l'association Saint-Germain-en-transition.
Au sommaire de ce nouveau répertoire diffusé en décembre 2022 : 62 opérations de recherche (pp.6-69) 107 thèses (pp.70-178) 19 autres actions de coopération acteurs-chercheurs (pp.180-200) 34 laboratoires développent en tout ou partie leur activité dans ce domaine (pp.202-281). Comment organiser les collaborations entre chercheurs et acteurs dans le domaine de l’habitat et du logement (pp.290-292) ? De nombreux index (chercheurs, acteurs, thématiques) et une carte de l’implantation des laboratoires (p.204) viennent faciliter la lecture.
Ce document constitue la synthèse de l’un des moments phares du programme "Métropoles" de la Plateforme d’Observation des Projets et Stratégies Urbaines, le "Camp de base", qui s’est tenu à Grenoble les 15 et 16 mars 2022, en partenariat avec la plateforme POPSU Grenoble et le Monde, dans le cadre de Grenoble Capitale verte européenne 2022. Il dresse le bilan des recherche-action des différentes plateformes, tant du point de vue des fonctions métropolitaines, de la place des acteurs et des citoyens, du renversement de regard sur la métropole en la qualifiant par ses bords ou encore de la question sociale et du rôle du paysage.
Cet événement d’une journée (26 novembre 2022) avait pour objectif d’ouvrir des discussions collectives sur les pratiques urbaines d’adaptation aux changements climatiques. En se focalisant sur les expérimentations réalisées dans les villes du Québec, des acteurs et actrices communautaires, des gestionnaires de la sphère publique et des spécialistes de l’urbain se sont rencontrés autour de plusieurs tables de discussion afin d’échanger sur leurs pratiques et d’en apprendre de nouvelles.
A partir de 1998, il s’implique dans la vaste formation-action-recherche sur la cogestion et la coproduction des espaces publics avec le collectif Habitat et Développement. Il a activement contribué à la création du réseau Capacitation Citoyenne à la suite d’une étude-action pour la formation des...
Ce colloque s’inscrit dans le prolongement des réflexions et échanges de deux précédentes rencontres autour de la recherche en action : « Faire avec et pour : quelle posture du·de la chercheur·se dans la recherche en action ? Du terrain à l’épistémologie » (2019) et « Le savoir de l’action. Quand le terrain se met en recherche » (2020). S’inscrivant dans la continuité des réflexions sur les relations entre chercheur·ses et acteur·rices, cette troisième rencontre est l’occasion de mettre en lumière différents processus impliqués dans les démarches de recherche-action : les transformations, l’intentionnalité, la collaboration.
La promotion 2020-2021 du parcours de M2 Développement Urbain Intégré : stratégies et projets (Master Urbanisme et Aménagement, École d'Urbanisme de Paris) présentera les résultats de son atelier de recherche-action sur la ville productive du quart d’heure dans la Vallée de la Chimie dans le cadre de la Journée d'étude "Les Apports des démarches de recherches-actions à un projet de territoire. L'exemple de la Vallée de la Chimie." Les étudiant.es seront accompagné.es par les deux coresponsables du parcours, Nadia Arab (professeure à l'EUP, chercheuse au Lab'Urba) et Yoan Miot (maître de conférences à l'EUP, chercheur au LATTS - Laboratoire Techniques, Territoires et Sociétés).
Inclure les citoyens est essentiel pour construire des projets de développement durables et pertinents. Démarche participative, la recherche-action aide à mieux prendre en compte les acteurs locaux.
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