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Based on an extensive model intercomparison, we assessed trends in biodiversity and ecosystem services from historical reconstructions and future scenarios of land-use and climate change. During the 20th century, biodiversity declined globally by 2 to 11%, as estimated by a range of indicators. Provisioning ecosystem services increased several fold, and regulating services decreased moderately. Going forward, policies toward sustainability have the potential to slow biodiversity loss resulting from land-use change and the demand for provisioning services while reducing or reversing declines in regulating services.
Principaux enseignements au niveau mondial et en France 97% des Français (97% des répondants au niveau mondial) estiment que la santé est l’enjeu prioritaire quant aux décisions locales concernant l’eau, les déchets et l’énergie, le prix final venant en dernier. 66% des Français (64% des répondants au niveau mondial) se sentent vulnérables à un risque sanitaire engendré par le dérèglement climatique. Ces risques se traduisent par une augmentation des maladies infectieuses, les pollutions, la baisse de la qualité des aliments et les problèmes de santé mentale. 65% des Français (67% des répondants au niveau mondial) pensent qu’une solution qui favorise la préservation de leur santé les inciterait à modifier leurs habitudes ou à accepter un coût légèrement plus élevé. 68% des Français (66% des répondants au niveau mondial) sont convaincus que l’inaction coûtera plus cher que l’action écologique.
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La ressource en eau renouvelable, indispensable aux différents usages anthropiques et au fonctionnement des milieux aquatiques, a diminué de 14 % en France au cours de ces quinze dernières années. Cette tendance devrait s’aggraver, notamment en période estivale, avec le changement climatique. Quel est l’état actuel des connaissances de la demande en eau ? Quelles sont les dynamiques spatiales de cette demande ?
Moins médiatique que le dérèglement climatique, la biodiversité est pourtant un sujet très connu des Français, selon le baromètre RSE publié ce lundi 15 avril par Odoxa, en partenariat avec I-Care et Capital : "Neuf personnes sur dix assurent en effet connaître ce sujet, et même très bien pour près de la moitié des sondés (47%). Des Français préoccupés par les menaces sur la biodiversité, et désireux d’agir pour la protéger. 95% d’entre eux la considèrent comme un sujet «important, voire prioritaire». Pour la bonne raison que 80% des sondés sont convaincus que la situation de la France en la matière est «préoccupante». Une donnée à prendre en compte par les entreprises, notamment en termes de marque-employeur.
Ces barrages perturbent la "continuité écologique" des rivières. Dans les trois quarts des cas, ces destructions concernent de petits ouvrages, mais ça n'en reste pas moins une bonne nouvelle pour la biodiversité.
Via Hubert MESSMER , DocBiodiv
Selon Jean-François Modat, conservateur régional de l’archéologie, « 160 sites archéologiques » sont menacés par le recul du trait de côte en Guadeloupe, « dont une quinzaine sont déjà en train de partir à la mer ». Quelque « 4.400 sites archéologiques sont recensés et parmi eux, 800 se situent à moins de 100 mètres du bord de mer », a-t-il estimé. Selon l'observatoire régional de l'énergie et du climat, le recul du trait de côte est inéluctable d'ici 50 ans et le risque de submersion marine est estimé pour certaines zones jusqu'à 180 jours par an d'ici à 2050.
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Ainsi, « mars 2024 continue la séquence des records climatiques à la fois pour la température de l’air et la température de surface des océans » puisqu’il est « le dixième mois consécutif battant le record », souligne Samantha Burgess, directrice adjointe du service changement climatique de Copernicus. La température moyenne mondiale pour les douze derniers mois (avril 2023 à mars 2024) est la plus élevée jamais enregistrée. Elle se trouve 0,70 °C au-dessus de 1991-2020 et 1,58 °C au-dessus des niveaux préindustriels de 1850-1900.
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L'Autriche devrait perdre tous ses glaciers d'ici 45 ans, a prévenu vendredi son Club alpin, car deux de ses glaciers ont diminué l'an dernier de plus de 100 mètres Le rapport du Club alpin d'Autriche (OeAV) révèle un recul spectaculaire des glaciers du pays durant les sept dernières années. L'étude montre que 93 glaciers autrichiens observés par l'organisation ont reculé de 23,9 mètres en moyenne l'an dernier, soit la troisième plus importante fonte de glaciers depuis le début des mesures en 1891. 2022 a été la pire année observée pour la fonte des glaciers en Autriche, avec un retrait moyen de 28,7 mètres.
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Site officiel des Parcs naturels régionaux de France. Découvrez nos actualités, actions et ressources sur ces territoires ruraux d'exception.
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Créé en 2010, le Sanctuaire Agoa est une aire marine protégée dont les actions sont dédiées à la protection des mammifères marins des Antilles françaises. Après 14 ans d’existence et un premier plan de gestion, le Sanctuaire publie aujourd’hui son nouveau document stratégique pour la période 2023-2037. Le document
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En plus de permettre de préserver l'écosystème, les aires marines protégées produiraient des externalités positives significatives, d'après une récente étude. Pour évaluer l'impact de ces zones protégées, Mark John Costello, professeur à l'Université de Nord (Norvège), a analysé la littérature scientifique portant sur 51 AMP, aux écosystèmes très divers, dans 34 pays à travers le monde. Ses conclusions sont publiées dans un article paru dans la revue scientifique Scientia Marina. Sur les 200 études scientifiques analysées par le chercheur, aucune ne fait état de pertes nettes pour les pêcheries voisines des zones protégées. En outre, les aires marines protégées peuvent rapporter des millions, voire des milliards de dollars, en revenus touristiques. Le Parc marin de la Grande Barrière de corail, en Australie, génère ainsi 6,4 milliards de dollars (5,9 milliards d'euros) de revenus par an, selon l'étude.
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En février, les inspecteurs de l’environnement du Parc national menaient une nouvelle campagne de survol, sur cinq jours. Après dix-huit heures d’observation et 221 points GPS relevés, le traitement des données a révélé 112 sites illégaux sur le périmètre du Parc. Ce chiffre confirme la persistance de l’activité d’orpaillage illégal, avec 36 % des sites recensés en zone cœur. Les résultats de cette première campagne de survol de l’année 2024 montrent aussi une baisse de 22 % du nombre de sites actifs par rapport au précédent survol d’août 2023.
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L'eau pour la prospérité et la paix. L’eau, lorsqu’elle est gérée de manière durable et équitable, peut être une source de paix et de prospérité. C’est également l’élément vital de l’agriculture, le principal moteur socio-économique de milliards de personnes.
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La défense de la biodiversité, ça marche. La dernière étude de Penny Langhammer, professeure associée à l’Université d’Arizona et vice-présidente de l’ONG Re : Wild, parue dans le magazine Science ce jeudi 25 avril s’appuie sur l’analyse des résultats de 186 études évaluant les résultats d’action de conservation partout dans le monde. Au moins 44 000 espèces sont à risque d’extinction, et pourtant, «si l’on ne considère que la tendance au déclin des espèces, il serait facile de penser que nous ne parvenons pas à protéger la biodiversité, mais on n’aurait pas une vue d’ensemble de la situation», vante Penny Langhammer dans un communiqué.
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L’auteur présente leur origine, leur histoire et leur fonctionnement. Il explique comment les sociétés humaines ont utilisé, et utilisent encore, les ressources que procurent ces milieux, et décrit les très nombreux services écosystémiques rendus : refuge de biodiversité, régulation des débits de crue et d’étiage, stockage de carbone, conservation d’archives naturelles, intérêt patrimonial, etc. Environ 80 à 85 % des tourbières de la planète sont encore indemnes d’atteintes graves à leur fonctionnement. Mais il convient de prendre en compte dès maintenant leur gestion conservatoire afin d’adopter rapidement les mesures de protection adéquates.
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Malgré une transparence limitée sur les choix de conception et d’infrastructure, plusieurs études et communications laissent présager que l’intensification des capacités des IA et l’engouement pour des cas d’usages génératifs et multi-tâches entrainent une croissance forte des impacts environnementaux. A l’inverse, les bénéfices environnementaux que pourrait apporter l’IA sont largement communiqués. Ce potentiel doit être confronté aux risques d’effets rebonds directs et indirects et être mis en regard d’autres solutions ou stratégies de réduction des émissions.
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Le monde connaît actuellement un événement mondial de blanchiment des coraux, selon les scientifiques de la NOAA. Il s'agit du quatrième événement mondial jamais enregistré et du deuxième au cours des 10 dernières années.
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L’Office français de la biodiversité (OFB) et la gendarmerie nationale ont interpellé une équipe de trafiquants de civelles qui sévissaient en Vendée, en Loire-Atlantique et en Charente-Maritime. Ces trafics illégaux sont en partie la cause de la baisse significative de la population de l'anguille européenne. L'anguille européenne est classée en danger critique d'extinction, et le trafic de son alevin, la civelle, en est la cause principale. "La valeur annuelle estimée du trafic illégal est estimée à plusieurs milliards d'euros. Les civelles sont très prisées car le kilo se négocie entre 250 et 500 euros en France et jusqu'à 5 000 euros en Asie", précise la préfecture de Vendée dans un communiqué commun avec l'OFB.
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Après l’embellie, l’abîme ? Alors que le nombre de baleines à bosse avait joliment augmenté depuis l’interdiction de leur chasse, en 1976, leur population décline à nouveau de manière inquiétante dans le Pacifique Nord, alerte une étude publiée fin février dans la revue scientifique Royal Society Open Science. Entre 2013 et 2021, 20 % de ces majestueux cétacés ont disparu. Selon les estimations des scientifiques, on ne compterait plus aujourd’hui qu’autour de 26 500 baleines à bosse dans la région, contre 33 500 sept ans plus tôt — ce qui correspond à une perte totale de 7 000 individus. Selon les auteurs de cette étude, le principal responsable serait le changement climatique. Entre 2014 et 2016, le nord-est de l’océan Pacifique a été frappé par la vague de chaleur la plus extrême jamais enregistrée par l’être humain, avec des températures à la surface de la mer excédant de 3 à 6 °C les normales.
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À la fois aquatiques et terrestres, les insectes de l'ordre des odonates, les libellules et demoiselles, sont de véritables sentinelles de nos milieux naturels. Or, selon le livre rouge des odonates, une espèce de libellule sur quatre est menacée dans notre région. Un signal inquiétant pour l'état de santé de nos écosystèmes, zones humides et habitats terrestres.
Une mission d'inspection IGEDD-IGA a été chargée de produire des propositions concernant le financement de la recomposition spatiale des territoires littoraux soumis au recul du trait de côte. Dans ce cadre, et sous l'égide du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), le Cerema a réalisé une série d’études pour mieux appréhender le recul du trait de côte d’ici la fin du siècle à l’échelle de l’hexagone et des départements et régions d'Outre-mer (DROM). A 2028, environ un millier de bâtiments pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 millions d'euros. A l'horizon 2050, 5 200 logements et 1 400 locaux d'activité pourraient être affectés par le recul du trait de côte, représentant une valeur totale de 1,2 milliard d'euros. A l'horizon 2100, le nombre très élevé d'enjeux identifiés invite à une réflexion globale à l'échelle de grands territoires.
Si certains pays montrent une volonté politique de réduire la perte de forêts, ce n’est pas le cas pour tous et les limites de la perte de forêts se déplacent : les réductions notables au Brésil et en Colombie ont été compensées par de nettes augmentations en perte de forêts en Bolivie, au Laos et au Nicaragua et par de plus faibles augmentations dans d’autres pays. En 2023, la perte totale de forêts primaires tropicales a atteint 3,7 millions d’hectares, ce qui équivaut pratiquement à la perte de 10 terrains de football par minute.
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À partir d’une sélection de cartes et d’indicateurs clés commentés, ce recueil dresse un panorama synthétique des principaux usages des territoires littoraux et marins de l’Hexagone et des Outre-mer. État côtier riverain des océans Atlantique, Pacifique, Indien et Antarctique, la France est souveraine d'un espace maritime de près de 11 millions de km2, dont 97 % se situent en outre-mer.
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Avec 83 individus détectés au minimum en 2023, l'effectif de la population d'Ours brun continue progressivement d'augmenter dans les Pyrénées. C'est l'un des résultats présentés dans le rapport annuel 2023 du suivi de l'espèce dans les Pyrénées françaises, réalisé par le réseau Ours brun.
La pratique a connu une forte hausse avec la crise du Covid. La gestion de la fréquentation est donc devenue l'un des enjeux principaux pour les territoires. Pour estimer la fréquentations (...) les équipes utilisent également les nouvelles technologies, explique Pierrick Navizet, le chef du service accueil et communication du parc national des Écris.
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Voir sur le portail https://www.geolittoral.developpement-durable.gouv.fr/evaluation-des-enjeux-exposes-au-recul-du-trait-de-a1608.html