Biodiversité

Le monde vivant est fascinant. Sa complexité dépasse celle des machines les plus sophistiquées inventées par les humains et celle des objets matériels physiques. Devant les grands défis du XXIe siècle, il est nécessaire d’essayer de comprendre au mieux ce monde vivant...

Les acteurs intéressés par les propriétés biologiques des organismes photosynthétiques, principalement des plantes, ainsi que par leurs applications dans l’agriculture et les bioénergies, prenant en compte le changement climatique et la protection de l’environnement. Il s’agit donc de promouvoir la biologie végétale, fondamentale et appliquée, dans son ensemble et sa diversité.
Lors de ce congrès, la plante sera considérée dans son environnement et en interaction avec ce dernier.

Accroissement du bétail : un facteur pandémique mondial : La croissance mondiale d’élevage de bétail menace la biodiversité et augmente les risques sanitaires pour les humains et les animaux domestiques. Ces liens sont au cœur d’une étude de Serge Morand, chercheur au Cirad en Thaïlande, détaché du CNRS, qui vient d'être publiée dans la revue Biological Conversation.

L’ANR lance un appel « Ecophyto - Maturation » en cofinancement avec l’AFB (Agence Française pour la Biodiversité). Il s’adresse à des consortiums composés d’équipes issues d’organismes de recherche et d’entreprises.

Cet appel vise à soutenir le développement de produits, technologies ou services permettant d’atteindre un niveau de maturité technologique supérieur ou égal à 5, afin de proposer des solutions innovantes et durables pour contribuer à la réduction de l’utilisation de produits phytosanitaires en agriculture.

Le colloque fera le point sur la biologie des sols, sur les communautés présentes, sur les méthodes pour les caractériser, pour prévoir leurs évolutions en fonction des usages des sols. Quels sont les outils et méthodes disponibles ? Quels indicateurs permettent de suivre ces évolutions et de poser un diagnostic sur les fonctions des sols en lien avec leur biodiversité ? Dans une vision systémique, le colloque illustrera ces questions sur une diversité de sols, en fonction des substrats géologiques, des usages de sols, des systèmes agricoles.

Face à l’anthropisation croissante des milieux aquatiques, la communauté internationale s’est fixée comme objectif d’évaluer, et de surveiller l’état écologique des eaux de surface et souterraines. En France et plus largement en Europe, la Directive Cadre sur l’Eau viendra appuyer cet objectif (...) En ce sens, des indices biologiques (ex : indice poisson rivière ; indice invertébrés multi-métrique) ont été développés pour les cours d’eau afin d’évaluer les sites qui sont sains (bon état écologique) ou significativement dégradés (mauvais état écologique). Cependant, ces indices biologiques ne permettent pas d’identifier les causes (pressions d’origine anthropique) à l’origine de la dégradation des sites en mauvais état, limitant alors les actions de conservation et de restauration des gestionnaires de l’environnement visant à atteindre le bon état écologique. Pour pallier ces lacunes, une collaboration scientifique menée par l’Université de Lorraine, impliquant plusieurs organismes de recherche (INRAE, CNRS, MNHN), et financée par l’Office Français de la Biodiversité, propose un outil de diagnostic des pressions d’origine anthropique à travers l’étude des communautés piscicoles.

Le sol est il en danger ? Le sol n'est pas au mieux de sa forme, il est en longue maladie, abîmé par le soc, la roue, l’azote et l’herbicide. Mais il y a de plus en plus de nouvelles initiatives en agro-écologie qui le protègent et qui le respectent. La situation n’est pas désespérée !