Your new post is loading...
Your new post is loading...
"Global climate change is predicted to result in increased yield losses of agricultural crops caused by environmental conditions. In particular, heat and drought stress are major factors that negatively affect plant development and reproduction, and previous studies have revealed how these stresses induce plant responses at physiological and molecular levels.
Via Julio Retamales, Les Sentinelles du climat
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Neuf personnes sur dix identifient que la pollution de l'air extérieur (92,2 %), les métaux lourds (89,8 %), les sols pollués (89,4 %), les pesticides (89,1 %) et les événements climatiques extrêmes (82,4 %) présentent un risque " élevé " à " plutôt élevé ". Elles étaient moins nombreuses à identifier un risque " élevé " à " plutôt élevé " pour le bruit (71,3 %), les plantes invasives (66,2 %) et le radon (59,4 %).
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Micro-projets, compagnonnages et projets partenaires ultramarins-Te Me Um 70 pages pour adapter la gestion de votre aire protégée au changement climatique ! Bulletin ERC des Pôles relais Guide de reconnaissance des plantes pour la restauration des zones littorales et marécageuses dans les îles de la Société (Polynésie française)
|
Scooped by
DocBiodiv
|
We aimed to assess the impact of future climate change on fire activity in southeastern France and estimate changes in spatial and seasonal distributions. Key results Fire activity could increase by up to +180% for +4°C of global warming, with large expansions of fire-prone regions and long seasonal lengthenings. Overall, changes will be dominated by intensification within the historical fire niche, representing two-thirds of additional future fire activity, half of this occurring during the high fire season.
Pour la première fois, deux études scientifiques de grande ampleur permettent d’avoir une idée précise de la diversité végétale à travers le monde.
Via Hubert MESSMER
"Pour les plantes, l’extinction des espaces capables de disperser des graines est néfaste. En ce sens, ces animaux perdent la capacité à migrer vers des lieux moins inhospitaliers et impactés par le réchauffement climatique. Ce sont les conclusions d’une nouvelle étude publiée jeudi dans la revue Science."
Via LPO Île-de-France
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Des chercheurs de l'université de Stanford mettent en garde contre les conséquences du réchauffement climatique sur la flore alpine. Ces plantes vivant à la limite des neiges éternelles pourraient s'éteindre, des espèces plus compétitives colonisant leur habitat.
Les impacts de l'homme sur les forêts naturelles du monde ne se limitent pas à la déforestation. Le feu, la coupe de bois et l'invasion par des animaux et des plantes exotiques sont quelques exemples d'impacts directs sur la biodiversité et les stocks de carbone des parties non déboisées, ou vestiges forestiers. Mais quelle est l'ampleur (et le coût) de ces impacts humains ?
Via Hubert MESSMER
Nicolas Viovy est chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE – Université Paris-Saclay, CNRS, CEA, UVSQ). Il modélise le cycle du carbone dans la biosphère terrestre et s’est spécialisé en écophysiologie, contribuant au fil des années à de nombreux programmes de recherche européens et mondiaux, dont le Global Carbon Project.
Via Life Sciences UPSaclay
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Grâce à la plus grande base de données botaniques jamais réalisée, une équipe internationale de chercheurs a pu comptabiliser l'abondance de chaque espèce de plantes sur la planète et conclure que près de 40 % sont rares et plus de 28 % très rares, accentuant de fait leur fragilité. Encore plus alarmant : les zones où se concentrent ces espèces rares sont bien plus impactées par le changement humain et climatique que la moyenne.
Sur l’île de Wight, située au sud de l’Angleterre, des plantes qui poussent habituellement dans des régions chaudes du monde se sont mises à se reproduire. Ces Cycadales poussent naturellement de nouveau au Royaume-Uni, pour la première fois depuis 60 millions d’années. Explications. Une preuve du changement climatique Ces deux cycas (un type de plante …
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
En dix ans, la flore sauvage a déjà changé sous l'effet du dérèglement climatique, «sur toute la France, tous milieux confondus»
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Une équipe du LIPM a lancé une expérience participative dans 11 départements du Sud-Ouest (Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Gers, Lot, Tarn, Tarn-et-Garonne, Ariège, Aveyron, Aude, Pyrénées Orientales, Lot-et-Garonne). Elle vise à définir une carte génétique de l’adaptation de la plante modèle Arabidopsis thaliana à son environnement (sol, microbiote, climat). Ce projet participatif est financé pour deux ans par le labex TULIP. Les graines de 168 population naturelles récoltées dans cette zone ont été semées dans 56 jardins de 45 particuliers, d’une école primaire et du Conservatoire Botanique de Bagnères-de-Bigorre : une expérience grandeur nature à suivre de près !
|
Selon une nouvelle étude, les plantes stockeront davantage de CO2 dans un monde où les émissions sont très élevées. L'étude révèle que la "production primaire brute", c'est-à-dire le taux d'énergie capté par la photosynthèse, pourrait augmenter vers la fin du siècle en cas d'émissions élevées. Guru Med | 22 Nov 2023
Via Bernadette Cassel
|
Scooped by
DocBiodiv
|
A Chaumont-sur-Loire (41), le Festival international des jardins bat son plein jusqu’au 5 novembre. Une manifestation marquée cette année par le thème de la résilience. Résilience de la nature, préservation de la biodiversité mais aussi adaptation à l’élévation des températures et aux catastrophes naturelles.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Réchauffement aidant, certaines plantes qui vivent à flanc de montagne ont commencé depuis longtemps à gagner de l'altitude, à la recherche de températures plus fraîches. Mais des biologistes commencent à mesurer à quel point certains végétaux sont de meilleurs grimpeurs que d'autres.
Les forêts de kelp, des "forêts" sous-marines composées d'algues brunes géantes, captent du carbone et en stockent une partie sous forme de matière organique
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Une nouvelle étude montre que l’adaptation des lichens face aux changements climatiques est très lente, avec une tolérance de modification de température de moins de 1 °C tous les millions d’années.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Most plant species depend on animals to disperse their seeds, but this vital function is threatened by the declines in animal populations, limiting the potential for plants to adapt to climate change by shifting their ranges. Using data from more than 400 networks of seed dispersal interactions, Fricke et al. quantified the changes in seed disposal function brought about globally by defaunation. Their analyses indicate that past defaunation has severely reduced long-distance seed dispersal, cutting by more than half the number of seeds dispersed far enough to track climate change.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Plant–herbivore interactions have evolved in response to coevolutionary dynamics, along with selection driven by abiotic conditions. We examine how abiotic factors influence trait expression in both plants and herbivores to evaluate how climate change will alter this long‐standing interaction.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Dossier : Les manchots face aux pêcheries et aux changements climatiques Par Michel Gauthier-Clerc Dossier : Sur la plage abandonnée... Les effets du confinement sur la faune et la flore du bord de mer Par Franck Delisle Point de vue : La culture des plantes au moyen-Âge Hildegarde de Bingen, une femme au savoir précurseur Par Joëlle Ducos, Yoan Boudes, Alice Laforêt, Laurence Moulinier-Brogi, Fleur Vigneron
|
Scooped by
DocBiodiv
|
En plus d’être une menace pour la biodiversité, les plantes invasives pourraient aussi en être une pour le climat car elles pourraient favoriser la libération de CO2 par les sols. Un article de notre partenaire le Journal de l’environnement.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Vegetation impacts on ecosystem functioning are mediated by mycorrhizas, plant–fungal associations formed by most plant species. Ecosystems dominated by distinct mycorrhizal types differ strongly in their biogeochemistry. (...) Here we present global, high-resolution maps of vegetation biomass distribution by dominant mycorrhizal associations.(...) Soil carbon stocks in both topsoil and subsoil are positively related to the community-level biomass fraction of ectomycorrhizal plants, though the strength of this relationship varies across biomes. We show that human-induced transformations of Earth’s ecosystems have reduced ectomycorrhizal vegetation, with potential ramifications to terrestrial carbon stocks.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Botaniste et docteur en systématique végétale, Marc Jeanson est depuis 2013 responsable de l'Herbier national au muséum national d'Histoire naturelle. Dans "Botaniste", co-écrit avec Charlotte Fauve, il raconte son métier et rend hommage à ses ancêtres inventeurs de plantes. Il est l'invité du grand entretien du 6/9.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Et si les plantes atteignaient un point de rupture ? Jusqu'ici, grâce à la photosynthèse, les plantes ont réussi à adapter leur absorption du CO2 à l'explosion des émissions de ces dernières décennies. Mais les scientifiques doutent de leur capacité si l'augmentation continue à ce rythme. Et ce facteur n'est pas négligeable, les plantes absorbent actuellement 30 % des émissions de la planète bouleversant les prévisions liées à la crise climatique.
|
Authors: Hikaru Sato, Junya Mizoi, Kazuo Shinozaki and Kazuko Yamaguchi-Shinozaki.(2024)