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Les épisodes caniculaires et la sécheresse de 2022 ont causé la perte de 80% des lézards vivipares du triangle landais. Un effondrement mesuré dans le cadre du programme Sentinelles du climat en Nouvelle-Aquitaine coordonné par l’association Cistude Nature. Pour atténuer les effets du changement climatique et enrayer l’extinction locale, les scientifiques appellent à prendre des mesures fortes pour restaurer les lagunes et landes humides du secteur.
Via Les Sentinelles du climat
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À l'occasion des premières rencontres internationales biodiversité des lacs des Pyrénées, à Loudenvielle (Hautes-Pyrénées), la chercheuse Florence Mazier évoque l'intérêt de l'étude des lacs d'altitude et les conséquences de l'activité humaine et du réchauffement climatique sur ces derniers. Entretien.
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Le projet européen NorTrack (North East Atlantic Marine Tracking Network) a été officiellement lancé en début d’année. D’une durée de trois ans, il vise à mieux connaître les mouvements des espèces marines afin de comprendre l’influence du changement climatique sur la faune et sa capacité d’adaptation.
Historiquement, les changements climatiques sont ceux qui ont causé les plus nombreuses disparitions d’espèces d’animaux. Alors, même si d’autres menaces planent aujourd’hui sur la biodiversité, les chercheurs espèrent mieux comprendre le phénomène dans l’espoir de trouver des parades.
Via Hubert MESSMER
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Reportage avec l'OFB pour faire un état des lieux de la biodiversité en régions Grand Est et Hauts de France.
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Oiseaux, mammifères ou poissons : les espèces migratrices sont en déclin, voire menacées d’extinction par les activités humaines, selon un rapport de l’ONU.
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Noémie Coulon est en troisième année de thèse. Elle travaille pour l’antenne de Dinard du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN). Ses recherches portent sur les raies et les requins, des espèces particulièrement sensibles au changement climatique.
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Selon cet expert de la biodiversité, nous allons perdre des espèces au patrimoine génétique intéressant, bien adaptées...
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Malmené par le réchauffement climatique et les activités humaines, le roi des rivières voit sa population sérieusement décliner dans la région, qui fait pourtant toujours office de sanctuaire pour ce poisson migrateur. Avec une population mondiale qui a chuté de 23 % entre 2006 et 2020, l’espèce vient ainsi de passer de la catégorie « préoccupation mineure » à « quasi menacée » selon la liste rouge établie chaque année par l’Union internationale pour la conservation de la nature.
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Pour accélérer l’adaptation des forêts de production au réchauffement climatique en cours et futur, l’Homme peut planter à plus hautes latitudes de jeunes semis d’espèces d’arbres et d’arbustes en provenance de régions plus chaudes et plus sèches. Un consortium d’experts en écologie forestière vient de publier un article dans la revue Oikos qui alerte sur les conséquences de ce type de « migration assistée » des espèces pouvant entraîner un emballement climatique.
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Neuf personnes sur dix identifient que la pollution de l'air extérieur (92,2 %), les métaux lourds (89,8 %), les sols pollués (89,4 %), les pesticides (89,1 %) et les événements climatiques extrêmes (82,4 %) présentent un risque " élevé " à " plutôt élevé ". Elles étaient moins nombreuses à identifier un risque " élevé " à " plutôt élevé " pour le bruit (71,3 %), les plantes invasives (66,2 %) et le radon (59,4 %).
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C'est une loi de la nature : les espèces sont plus petites là où il fait plus chaud. Alors, intuitivement, le changement climatique devrait les rétrécir. Une étude parue dans Science est la première à dresser ce constat en analysant les variations de tailles entre espèces et au sein des espèces.
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Quantifier l'impact d'une certaine quantité d'émissions de gaz à effet de serre sur les ours polaires n'avait pour le moment jamais été fait.
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D’ici à 2100, un tiers à la moitié des zones humides côtières de huit pays du bassin méditerranéen pourraient être partiellement ou entièrement submergées.
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Les activités humaines sont responsables du déclin de la biodiversité observé par les scientifiques depuis plusieurs décennies. Jusqu’ici, c’est essentiellement le changement d’affectation des sols qui nuit à la nature. Mais demain, les effets du réchauffement climatique pourraient prendre le pas.
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Après l’embellie, l’abîme ? Alors que le nombre de baleines à bosse avait joliment augmenté depuis l’interdiction de leur chasse, en 1976, leur population décline à nouveau de manière inquiétante dans le Pacifique Nord, alerte une étude publiée fin février dans la revue scientifique Royal Society Open Science. Entre 2013 et 2021, 20 % de ces majestueux cétacés ont disparu. Selon les estimations des scientifiques, on ne compterait plus aujourd’hui qu’autour de 26 500 baleines à bosse dans la région, contre 33 500 sept ans plus tôt — ce qui correspond à une perte totale de 7 000 individus. Selon les auteurs de cette étude, le principal responsable serait le changement climatique. Entre 2014 et 2016, le nord-est de l’océan Pacifique a été frappé par la vague de chaleur la plus extrême jamais enregistrée par l’être humain, avec des températures à la surface de la mer excédant de 3 à 6 °C les normales.
9 027 communes en France, soit quasiment une ville sur quatre, sont classées à risque concernant les chenilles processionnaires. Les chenilles sont sorties avec trois mois d'avance en cette année 2024, en raison du redoux.
Via Hubert MESSMER
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Une étude publiée ce mardi 13 février dans la revue «Nature Communications» confirme que malgré leurs efforts pour s’adapter au réchauffement climatique, ces mangeurs de phoques risquent l’«inanition», car forcés de jeûner ou de se nourrir de baies.
Reptile endémique de l’étage alpin des Pyrénées, le Lézard de Bonnal (Iberolacerta bonnali) est observé, jusqu’à présent, de 1 700 à 3 000 mètres d’altitude. Jusqu’à présent car ce lézard pyrénéen a besoin d’un habitat rocheux dont la température de roche se situe entre 20 et 35 degrés afin d’entrer en activité (thermo-régulation). La disparition à terme, de l’étage alpin du fait du réchauffement climatique peut compromettre son existence. Avec près de 40% de l’aire de répartition du reptile sur son territoire, le Parc national a une responsabilité forte pour la conservation de cette espèce.
Via Scoop.it Aure Louron, Les Sentinelles du climat
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Sur le papier, planter des arbres issus de régions sèches dans nos forêts pour les rendre plus résilientes aux sécheresses semble une bonne idée. En pratique, cela risque de poser quelques problèmes.
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Le réchauffement des océans fait disparaître le plancton, et avec, les poissons qui en dépendent. Dans l'Atlantique nord, la disparition de 26 % du plancton d'ici 2100 pourrait faire disparaître jusqu'à 55 % des poissons, et bien plus encore dans d'autres océans.
"Global climate change is predicted to result in increased yield losses of agricultural crops caused by environmental conditions. In particular, heat and drought stress are major factors that negatively affect plant development and reproduction, and previous studies have revealed how these stresses induce plant responses at physiological and molecular levels.
Via Julio Retamales, Les Sentinelles du climat
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Une partie de nos rivières sont d’ailleurs dites « intermittentes » : de manière récurrente, elles cessent de s’écouler ou s’assèchent complètement. C’est un phénomène naturel, tous les cours d’eau possèdent des segments intermittents : à l’échelle mondiale, ils sont même plus importants que les segments qui coulent toute l’année ; à l’échelle française ils représentent environ un tiers de l’ensemble des cours d’eau du pays. Liée au climat, à la géologie ou aux échanges avec la nappe, cette intermittence n’est donc pas négative pour la biodiversité. Mais le changement climatique vient introduire des perturbations qui elles, peuvent avoir des effets néfastes.
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L'eau est essentielle à la survie des oiseaux migrateurs. De la reproduction au repos, et le ravitaillement pendant la migration et l'hivernage, les oiseaux migrateurs dépendent des lacs, des rivières, des étangs, des zones humides côtières, et même de l'humidité trouvée dans les graines, les fleurs et la brume. Mais l'eau est menacée. Le changement climatique, la pollution et l'augmentation de la demande humaine d'eau mettent en danger les écosystèmes vitaux et la disponibilité d'eau potable – pour les oiseaux comme pour les populations. En fait, 35 % des zones humides du monde ont été perdues au cours des 50 dernières années, et le rapport de l'ONU sur l'eau dans le monde, récemment publié, estime que plus de 2 milliards de personnes n'ont plus accès à l'eau potable.
Si les espèces végétales des régions les moins chaudes de la planète se retrouvent souvent inadaptées face au réchauffement climatique, qu'en est-il des espèces de régions déjà chaudes, comme les forêts tropicales ?
Via Hubert MESSMER
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