Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Les activités humaines sont responsables du déclin de la biodiversité observé par les scientifiques depuis plusieurs décennies. Jusqu’ici, c’est essentiellement le changement d’affectation des sols qui nuit à la nature. Mais demain, les effets du réchauffement climatique pourraient prendre le pas.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
La Liste rouge nationale (LRN) est une démarche collaborative d’évaluation du risque d’extinction des espèces sur le territoire français selon la méthodologie de l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Entre 2008 et 2020, 6700 espèces réparties en 11 chapitres ont été évaluées, et 700 sont considérées comme menacées. Les auteurs ont bancarisé et harmonisé les catégories de menaces identifiées lors des ateliers selon la classification des menaces directes de l’UICN, afin de proposer une analyse des activités et des processus d’origine humaine ayant un impact négatif sur les espèces menacées de France hexagonale et de Corse. La disparition de leurs milieux de vie due à l’urbanisation, au développement industriel, à l’agriculture, à la production d’énergie, aux exploitations minières et aux modifications du système naturel apparaît comme la principale menace qui pèse sur les espèces terrestres. Pour les espèces inféodées au milieu marin, les résultats de la Liste rouge nationale en métropole mettent en évidence les prélèvements comme la principale menace directe ou indirecte.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Le projet européen NorTrack (North East Atlantic Marine Tracking Network) a été officiellement lancé en début d’année. D’une durée de trois ans, il vise à mieux connaître les mouvements des espèces marines afin de comprendre l’influence du changement climatique sur la faune et sa capacité d’adaptation.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Après l’embellie, l’abîme ? Alors que le nombre de baleines à bosse avait joliment augmenté depuis l’interdiction de leur chasse, en 1976, leur population décline à nouveau de manière inquiétante dans le Pacifique Nord, alerte une étude publiée fin février dans la revue scientifique Royal Society Open Science. Entre 2013 et 2021, 20 % de ces majestueux cétacés ont disparu. Selon les estimations des scientifiques, on ne compterait plus aujourd’hui qu’autour de 26 500 baleines à bosse dans la région, contre 33 500 sept ans plus tôt — ce qui correspond à une perte totale de 7 000 individus. Selon les auteurs de cette étude, le principal responsable serait le changement climatique. Entre 2014 et 2016, le nord-est de l’océan Pacifique a été frappé par la vague de chaleur la plus extrême jamais enregistrée par l’être humain, avec des températures à la surface de la mer excédant de 3 à 6 °C les normales.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Un programme de recherche permet de suivre la migration des oiseaux en lien avec le développement de l'éolien en mer le long du littoral français. Les oiseaux sont suivis à l'aide de balise et fin mars, le trajet d'un coucou gris a marqué l'arrivée du printemps. Ces recherches doivent notamment permettre de mieux connaître les routes et les habitudes de l'avifaune.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Depuis 2014, avec la publication du Règlement européen relatif à la prévention et à la gestion de l’introduction et de la propagation des espèces exotiques envahissantes (EEE), le cadre règlementaire national a connu de nombreuses évolutions. D’autres règlementations complémentaires concernant les EEE existent et sont portées ou co-portées par les ministères de la santé, de l’agriculture ou de l’environnement. Elles encadrent des sujets divers tels que la biosécurité, le contrôle des importations, la détention d’animaux sauvages en captivité, les pratiques de pêche en eau douce et la chasse, la gestion spécifique des espèces nuisibles pour la santé humaine ou la gestion des déchets résultant des interventions de gestion.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
The population abundance of large freshwater animals such as sturgeons, giant catfish, river dolphins, hippos, crocodylians and large turtles has declined sharply worldwide, as has the size of their distribution areas. While the causes of the declines of these megafauna have been frequently investigated, our knowledge of the impacts of megafaunal loss in freshwater ecosystems remains limited. Researchers demonstrate that native megafauna shape habitat structure and can promote biodiversity in freshwaters. Protecting and reinstating these species can therefore contribute to ecosystem restoration of inland waters.
|
Rescooped by
DocBiodiv
from EntomoNews
|
Du 1er mai au 30 novembre de chaque année, Santé publique France coordonne la surveillance renforcée saisonnière du chikungunya, de la dengue et du Zika dans les départements métropolitains, en lien avec les Agences régionales de santé. Un record de 130 cas autochtones de dengue en Europe dans l'année, dont 45 en France métropolitaine
Via Bernadette Cassel
9 027 communes en France, soit quasiment une ville sur quatre, sont classées à risque concernant les chenilles processionnaires. Les chenilles sont sorties avec trois mois d'avance en cette année 2024, en raison du redoux.
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Une étude publiée ce mardi 13 février dans la revue «Nature Communications» confirme que malgré leurs efforts pour s’adapter au réchauffement climatique, ces mangeurs de phoques risquent l’«inanition», car forcés de jeûner ou de se nourrir de baies.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Malgré une légère amélioration par rapport à l'an dernier, l'état des populations de poissons pêchés en France continue de stagner. D'après les chiffres annuels de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) pour 2022
|
Scooped by
DocBiodiv
|
This study used data from 160 urban sites in England, collected by volunteers taking part in the Wider Countryside Butterfly Survey, in which BTO is a partner. Butterflies were chosen as the species group to investigate because they can be sensitive to small changes in habitat, are commonly seen in urban settings, and can reflect the responses of other insects.
Reptile endémique de l’étage alpin des Pyrénées, le Lézard de Bonnal (Iberolacerta bonnali) est observé, jusqu’à présent, de 1 700 à 3 000 mètres d’altitude. Jusqu’à présent car ce lézard pyrénéen a besoin d’un habitat rocheux dont la température de roche se situe entre 20 et 35 degrés afin d’entrer en activité (thermo-régulation). La disparition à terme, de l’étage alpin du fait du réchauffement climatique peut compromettre son existence. Avec près de 40% de l’aire de répartition du reptile sur son territoire, le Parc national a une responsabilité forte pour la conservation de cette espèce.
Via Scoop.it Aure Louron, Les Sentinelles du climat
|
Sortir de la pêche industrielle requiert de repenser complètement la chaine de valeur, du pêcheur à la distribution. Cela nécessite aussi de nouvelles formes de coopération entre les acteurs.
Via Hubert MESSMER
|
Scooped by
DocBiodiv
|
la 5e édition de l’opération de préservation de la biodiversité « Attention, on marche sur des œufs ! » sera lancée sur l’ensemble du littoral français. La plupart d’entre nous l’oublient : la plage, lieu de promenade et de loisirs, est également l’habitat fragile de nombreuses espèces protégées qui s’y reproduisent au printemps et en été. Regardez où vous mettez les tongs ! La nature se réveille…
|
Scooped by
DocBiodiv
|
L’Office français de la biodiversité (OFB) et la gendarmerie nationale ont interpellé une équipe de trafiquants de civelles qui sévissaient en Vendée, en Loire-Atlantique et en Charente-Maritime. Ces trafics illégaux sont en partie la cause de la baisse significative de la population de l'anguille européenne. L'anguille européenne est classée en danger critique d'extinction, et le trafic de son alevin, la civelle, en est la cause principale. "La valeur annuelle estimée du trafic illégal est estimée à plusieurs milliards d'euros. Les civelles sont très prisées car le kilo se négocie entre 250 et 500 euros en France et jusqu'à 5 000 euros en Asie", précise la préfecture de Vendée dans un communiqué commun avec l'OFB.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Après des années de traque pour sa fourrure, sa viande et son castoréum (substance utilisée en cosmétique et pharmaceutique), l’année 1909 marque un terme à la destruction de castor d’Europe dans notre pays en interdisant sa chasse. Le castor fiber, qui aura vu sa population s’étioler jusqu’au XXe siècle, devient le premier animal de France à bénéficier d’une protection. Cette vigilance motive plusieurs initiatives de réintroduction dans différents bassins versants (Loire, Rhin, Moselle, Tarn …) pour inverser la tendance en faisant de cette espèce une réussite en matière de restauration de la biodiversité. En effet, parmi l’étendue de ces compétences, cet ingénieur semi-aquatique, plus grand transformateur de son environnement après les humains, régule les cours d’eau, régénère des écosystèmes, hydrate les sols et prévient des inondations.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
L’ONB nous renseigne sur l’état de la biodiversité des forêts dans l’Hexagone et en Outre-mer, sur les pressions anthropiques qui s’exercent sur elle ou encore sur les mesures de protection et de restauration mises en place par la société. Si seulement 18 % des habitats forestiers d’intérêt communautaire évalués entre 2013 et 2018 sont dans un état de conservation considéré comme favorable, quelques signaux positifs sont mis en exergue. Par exemple, le volume de bois mort favorable à la biodiversité a augmenté lors de la dernière décennie, tout comme la présence régulière de grands prédateurs (ours brun, loup gris et lynx), en hausse depuis 20 ans.
Historiquement, les changements climatiques sont ceux qui ont causé les plus nombreuses disparitions d’espèces d’animaux. Alors, même si d’autres menaces planent aujourd’hui sur la biodiversité, les chercheurs espèrent mieux comprendre le phénomène dans l’espoir de trouver des parades.
Via Hubert MESSMER
La guerre en Ukraine a ravagé l'environnement, à la fois du pays, mais aussi à plus large échelle. Fin 2023, la guerre a provoqué 60 milliards de dollars de dégâts sur l'environnement, selon un rapport du ministère ukrainien de l'environnement. Les incendies ont dévasté 12 000 km2 de forêts, soit environ 20 % de la surface forestière du pays. Des mines sont dispersées sur une surface d'environ 100 000 km2.
Via Système de veille
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Cette mesure permettra d'améliorer la connaissance et d'adopter des mesures de gestion de la ressource halieutique plus adaptées. Le Parc naturel marin du Cap Corse et de l'Agriate est engagé dans une démarche similaire avec les services déconcentrés de l'Etat en Corse, le projet de rédaction de l'arrêté est en phase de finalisation avant mise en ligne pour consultation publique.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Reportage avec l'OFB pour faire un état des lieux de la biodiversité en régions Grand Est et Hauts de France.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Oiseaux, mammifères ou poissons : les espèces migratrices sont en déclin, voire menacées d’extinction par les activités humaines, selon un rapport de l’ONU.
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Dans le cadre d’un programme piloté par l’Initiative pour les Petites Iles de Méditerranéeméd deux opérations de dératisation ont été menées avec succès en septembre 2023. Les côtes de la Corse forment un véritable archipel constitué de 141 îlots périphériques. Ces îlots, pour la plupart inhabités, sont des lieux importants dans le cycle de vie de l’avifaune marine et notamment des colonies de puffins de Scopoli (Calonectris diomedea) qui viennent y nicher et s’y reproduire. Aujourd’hui, ces oiseaux sont de plus en plus m
|
Scooped by
DocBiodiv
|
Highlights Biological invasions in urban areas resulted in a total cost of US$ 326.7 billion. Urban costs represent ∼15 % of the total costs caused by invasive species. Most of these costs were attributed to damage by insects and impacted mostly public and social welfare. 73 countries have reports of costly invasive species in urban areas, yet no monetary costs have been reported. Taxonomic and geographic gaps can be mitigated with more studies and accurate cost reporting.
|
Les scientifiques notent: "Compte tenu des effets négatifs potentiellement synergiques de l'utilisation des terres et du changement climatique sur la biodiversité, nos résultats suggèrent que les efforts de conservation et de restauration devraient être prioritaires à l'échelle mondiale en tant que solutions climatiques naturelles nécessaires. » DOI: 10.1126/science.adn3441